Il emmène son chien chez le vétérinaire et lui demande la chose la plus atroce qui puisse être. Ce massacre silencieux doit cesser

Publié par Justine le 23 Août 2020 à 9:39

C’est une énième campagne choc sur la protection des animaux. L’association AVA dénonce un « massacre silencieux » de centaines d’animaux de compagnie chaque jour. Découvrez ce véritable fléau dans la vidéo ci-dessous :

Une campagne pour sauver les animaux condamnés

L’Association AVA (Agir pour la Vie Animale) a décidé de frapper fort avec cette campagne contre les euthanasies injustifiées. En France, des centaines d’animaux de compagnie considérés comme « indésirables » sont euthanasiés sans réelle raison. Vous ne le savez peut-être pas, mais il est toujours possible de demander à son vétérinaire d’euthanasier un chat ou un chien qui ne souffre pas, et ce, sans motif médical. C’est au vétérinaire de décider s’il passe à l’action ou non.

Mais la campagne surnommée « Piqué au vif », ne parle pas uniquement des particuliers qui passent par cet acte horrible ! Elle évoque surtout les fourrières et les refuges qui pratiquent plus de 300 euthanasies par jour sans le moindre motif médical. Ils justifient cet acte d’après une Instruction technique du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation en date de 2017.

Les animaux au coeur d’une campagne choc

Malheureusement, le pire est encore à venir. Il s’avère que des associations de renommée internationale pratiquent aussi ce massacre sur des animaux qui ont peu de chances d’être adoptés. Ils se cachent ensuite, derrière les fourrières jugées responsables.

C’est ce que raconte la campagne d’AVA qui suit l’histoire vraie de Nacho, un chiot Dogue des Canaries de 9 mois. Victime d’une malformation de la patte, il ne peut pas courir et aurait dû être euthanasié avant son sauvetage par l’association. AVA a recueilli à ce jour 500 animaux au destin funeste, qui vivent heureux en Normandie.

Le Président fondateur d’AVA et docteur vétérinaire, Thierry Bedossa explique la triste réalité : « Aujourd’hui encore hélas, dans nos sociétés occidentales, nous avons une vision très utilitariste de l’animal : lorsque celui-ci n’est pas conforme à nos attentes, il est facile de s’en débarrasser, quitte à vouloir sa mort, et c’est précisément ce que combat AVA ».