Un cheval euthanasié après avoir été piétiné

Publié par Lou Tabarin le 01 Avr 2022 à 23:30

Triste nouvelle pour les propriétaires d’une jument en Seine-et-Marne. Malgré les efforts des pompiers et des vétérinaires, l’animal a dû être euthanasié. Le cheval présentait de graves blessures après avoir été piétiné par l’un de ses congénères.

La jument a été piétinée par un autre cheval dans un van de transport

Les chevaux sont des animaux merveilleux. Grands et forts, ils émerveillent petits et grands. Les plus chanceux qui pratiquent l’équitation le savent : on s’attache vite à ces bêtes qui peuvent aussi devenir un moyen de locomotion plutôt pratique en ces temps coûteux.

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Hélas, des heureux propriétaires ont dû prendre une décision terrible. Le dimanche 27 mars, un accident grave s’est produit avec deux de leurs animaux. Alors qu’ils étaient transportés dans un van qui roulait vers Saint-Germain-sur-Morin (77), une jument a fait un malaise. Dans ce petit box, elle aurait été piétinée par son compagnon de voyage.

À leur arrivée, les conducteurs remarquent que la magnifique jument à la robe blanche comme une licorne gît par terre. Ils tentent de la lever en vain. Les propriétaires contactent alors les sapeurs pompiers animaliers pour sauver le cheval en détresse.

Malgré tous les efforts des soigneurs, l’animal a dû être euthanasié

Sur place, les secours se démènent pour relever la jument. Ils constatent qu’elle présente de multiples blessures et que des soins sont nécessaires. Pour tenter de la déplacer, ils lui administrent des médicaments et l’entourent de sangles pour la soulever. Mais les jambes du cheval ne répondent plus.

L’animal souffre de plus en plus. Face à sa détresse, les pompiers le mettent sous sédatif pour pouvoir le transporter en urgence vers une clinique du Val-de-Marne. Des vétérinaires prennent en charge le cheval et font un diagnostic glaçant. Le dos de la jument est fracturé, et sa croupe est paralysée.

Pour mettre fin à ses souffrances, les soigneurs n’ont pas d’autre choix que d’euthanasier le cheval, qui n’aurait jamais pu remarcher.