Terrible : une femme tue son fils autiste d’une façon totalement atroce
C’est une histoire qui se déroule aux États-Unis, du côté de Miami. Ce jour-là, Patricia Ripley fait une balade avec son fils autiste de 9 ans. Mais d’un seul coup, elle tente de le tuer une première fois en le poussant dans un canal avant que des promeneurs ne lui viennent en aide. Se faisant passer pour l’un d’entre eux, elle réitère son geste un peu plus loin et cette fois-ci, tue définitivement le garçon.
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Elle tue son fils autiste de 9 ans
Ce vendredi 22 mai, Patricia Ripley part faire une balade avec son fils autiste de 9 ans, Alejandro. C’est ainsi qu’elle se dirige vers l’un des canaux de Miami et décide de le pousser de toutes ses forces avant de fuir en courant. Mais rapidement, des habitants du quartier résidentiel parviennent à le sauver.
Se faisant passer pour l’un d’entre eux, elle récupère donc le garçon qui ne peut pas avouer dans la mesure où il ne peut pas parler. Et c’est ainsi qu’elle le conduit sur un deuxième canal, beaucoup plus éloigné et dans un endroit désert. Elle réitère son geste, bien déterminée à tuer le garçon. « Elle a essayé une fois, et des gens l’ont sauvé. Il était vivant. Il aurait pu rester en vie. Elle avait l’intention, d’après tout ce qu’on sait, de le tuer « explique Katherine Fernandez Rundle, procureure de l’État du comté de Miami-Dade.
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Meurtre et tentative de meurtre avec préméditation
Interrogée par la police, Patricia Ripley expliquera d’abord que son fils autiste de 9 ans a été enlevé par deux hommes en la menaçant à l’arme blanche. Mais rapidement, une vidéo de caméra surveillance fait la lumière sur cette triste histoire. Inculpée pour meurtre et tentative de meurtre avec préméditation, elle a simplement déclaré : « Il est dans un endroit meilleur maintenant. »
Quant au père du jeune garçon, il n’en revient pas et reste encore sous le choc. » La seule chose que je dirai est que nous aimons notre vie, nous aimons Alejandro, et nous ne sommes pas d’accord avec tout ce qu’ils disent sur ma femme. Ce n’est pas réel. »