« Ils peuvent apporter tellement de bonheur » : Elle possède une collection de 250 bébés reborn
Quand certains se passionnent pour la philatélie ou les objets en porcelaine, d’autres ont des centres intérêts… plus excentriques.
Sylvia Heszterterenyiova : l’histoire d’une maman comblée
Quand la passion frise l’obsession. Les réseaux sociaux donnent à voir toutes sortes de situations qui relevaient de l’exceptionnel il y a quelques années en arrière. Reprises dans des émissions mettant en scène des individus hors normes et d’autres aux passions excentriques, elles attiraient de nombreux téléspectateurs et donnaient lieu à des débats animés entre collègues ou camarades de promo. Aujourd’hui, il suffit de se rendre sur Instagram ou encore TikTok pour être surpris.
C’est ainsi que The Mirror a pris connaissance de l’existence de Sylvia Heszterterenyiova, une australienne de 51 ans pas comme les autres.
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Dans les colonnes du tabloïd, elle revient sur une période compliquée. Ses deux filles viennent de quitter le cocon familial et elle se sent vide et inutile. C’est alors que Veronika et Sofia ont une idée. Une fois les fonds nécessaires rassemblés, elles achètent une poupée reborn qu’elles déposent sur le perron de la maison familiale. Surprise, Sylvia y découvre le mot suivant : « Je suis Isabella, prendras-tu soin de moi ? ».
« Je n’échangerai ma grande famille heureuse pour rien au monde »
Le début d’une histoire d’amour et une révélation pour la quinquagénaire, qui se prend alors de passion pour ces poupées très réalistes. Au fil des années, elle s’en procure de nouvelles jusqu’à compter 250 poupées dans sa collection. De quoi faire des jaloux parmi les enfants du voisinage.
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Aujourd’hui, Sylvia a comblé ce vide insupportable et s’est constituée une nouvelle famille, n’en déplaise aux proches qui peinent à comprendre sa nouvelle passion. « Ils peuvent apporter tellement de bonheur. Ils aident même les patients atteints de maladie d’Alzheimer à conserver et à retrouver certains souvenirs », explique-t-elle.
Et la maman de 250 poupons de reprendre : « Mes filles sont grandes maintenant et ne vivent plus avec moi. Elles passeront toujours en premier. Mais j’ai un lien particulier avec mes bébés reborn. Je n’échangerais ma grande famille heureuse pour rien au monde ». Elle a depuis fondé une entreprise de poupées reborn. Tout est bien qui finit bien pour cette habitante de Sydney qui coule désormais des jours heureux et apaisés, entourés de ses nombreux enfants.
