Icône menu hamburger Icône loupe de recherche
  1. TDN >
  2. Faits divers

« J’ai appuyé un oreiller sur le visage de mon fils » : les aveux glaçants d’un footballeur qui a assassiné son fils de 5 ans atteint du covid-19

Publié par Tom le 14 Mai 2020 à 16:29

En Turquie, un footballeur a avoué avoir tué son fils de 5 ans. A 32 ans, Cevher Toktaş s’est confessé une semaine auprès de la police après le meurtre de Kasim. Ce dernier était certainement atteint présentait des symptômes du covid-19.

Club de Bursa Yıldırımspor / Facebook.

A lire aussi : Décès tragique d’un jeune espoir du football de 19 ans !

Un footballeur tue son enfant âgé de 5 ans

La vidéo du jour

Hospitalisé pour de la fièvre et de la toux, symptômes du coronavirus, et déclaré mort de conditions naturelles, ce petit garçon a bel et bien été tué par son père. Ce dernier est passé aux aveux onze jours après le décès de l’enfant. Pris de remords, Cevher Toktaş s’en est allé expliquer son geste à la police. Il a tué son enfant car il ne l’aimait pas, explique simplement le numéro 5 du club de Bursa Yıldırımspor.

Un meurtre qui fait froid dans le dos, que ce modeste footballeur explique dans sa déclaration obtenue par l’Agence Demirören.

« J’ai appuyé un oreiller sur le visage de mon fils alors qu’il était allongé sur le dos. J’ai appuyé avec l’oreiller pendant quinze minutes. Mon fils se débattait. Après qu’il a cessé de bouger, j’ai levé l’oreiller. Ensuite j’ai crié pour que les médecins m’aident à dissiper tout soupçon »

Un meurtre car il n’aimait pas son fils

Pris de remords après l’enterrement, Cevher Toktaş est parti expliquer son geste à la police. « Je n’ai jamais aimé mon fils cadet. Je ne sais pas pourquoi, je ne l’aime pas. La seule raison pour laquelle je l’ai tué ce jour-là, c’est parce que je ne l’aimais pas. Je n’ai aucun problème mental. » Il risque désormais la prison à perpétuité. Le corps de l’enfant a été récupéré par les autorités, afin de procéder à une autopsie.

A lire aussi : SCANDALE : Un célèbre footballeur organise une « fête sexuelle » en plein confinement !