Le Nostradamus vivant révèle une prédiction terrifiante pour 2026, et cela ne s’annonce pas bien !
Surnommé le Nostradamus vivant, le Brésilien Athos Salomé, connu pour avoir annoncé la mort d’Elizabeth II et la pandémie de Covid, dévoile une série de prédictions inquiétantes pour 2026.
Entre risques de conflits géopolitiques majeurs, tensions militaires dans l’Arctique, instabilité croissante au Sahel, menaces solaires et alerte sanitaire, le devin annonce une année sous haute tension. Voici ce qu’il prévoit pour les mois à venir.
Quelles sont ses prédictions pour 2026 ?
Athos Salomé, surnommé le Nostradamus vivant, affirme que 2026 pourrait voir s’intensifier les fractures géopolitiques déjà visibles en 2025.
S’appuyant sur les tensions persistantes dans plusieurs régions, il désigne le Sahel comme l’un des futurs épicentres d’un conflit indirect entre puissances cherchant à regagner de l’influence après le départ des forces occidentales.
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Pointant l’essor des groupes extrémistes, il déclare : « Avec la montée en puissance des groupes extrémistes dans les régions septentrionales du Niger, je crois que la région pourrait devenir le théâtre d’une confrontation indirecte entre nations cherchant à préserver leur influence après le départ des troupes occidentales ».
En parallèle, il identifie l’Arctique comme un second point chaud potentiel, nourri par la militarisation croissante du cercle polaire et l’ouverture de nouvelles routes maritimes dues à la fonte des glaces.
Selon lui, les rivalités entre la Russie, les États-Unis et les alliés de l’OTAN pourraient atteindre un seuil critique au premier semestre 2026, tandis qu’il prévient : « Les interceptions les plus récentes indiquent que la Russie déploie des systèmes de missiles dans des zones stratégiques de l’Arctique ».
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Une activité solaire perturbatrice
Mais les inquiétudes du devin ne se limitent pas à la géopolitique terrestre. Pour 2026, il prévoit également un risque de perturbations massives liées à une forte activité solaire.
Selon ses dires, une tempête pourrait frapper la Terre entre le 12 et le 15 mars : « Des informations récentes indiquent que des éjections de masse coronale dirigées vers la Terre se produiront entre le 12 et le 15 mars 2026. La possibilité de pannes de courant à grande échelle est réelle, en particulier dans les réseaux électriques les plus vulnérables, mais rien de concret ».
À cela s’ajoute l’ombre d’une nouvelle menace sanitaire alors que le virus H5N5, déjà mortel chez l’animal, a touché pour la première fois un humain.
Sans prédire formellement une pandémie, il appelle à une vigilance accrue : « La surveillance mondiale doit être renforcée, surtout si l’on considère que l’UE s’empresse d’autoriser un vaccin à ARNm modifié ». Une année 2026 qui, selon lui, pourrait être marquée par des crises multiples, entre ciel et terre.