« Photos volées » de Gisèle Pelicot : L’argent reviendra à deux associations !
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Après le lourd procès qui l’a confronté à ses agresseurs, Gisèle Pelicot a dû retourner devant la justice. En avril 2025, la femme assigne Paris Match en justice après la publication de photos volées. Douloureux, mais plus facile à vivre pour cette figure du féminisme, qui a trouvé un accord « à l’amiable » avec le média.
Gisèle Pelicot contre Paris Match : un accord à l’amiable a été trouvé !
En avril 2025, Paris Match se retrouve face à une polémique. Le média publie des photos volées de Gisèle Pelicot. La femme, qui sort alors d’un long procès lié aux viols de Mazan, voit rouge. Elle assigne Paris Match en justice pour « atteinte à la vie privée » . Après le fait divers qui a retourné la France entière, Gisèle Pelicot doit donc refaire face à la justice.
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Pour rappel, le 17 avril 2025, Paris Match publie des photos de la femme en compagnie d’un autre homme et le nomme comme « son nouveau compagnon » . Cependant, l’entente semble de mise. À la sortie du tribunal, les avocats de Gisèle Pelicot annoncent qu’un « accord à l’amiable » a été trouvé. « Une issue amiable a été préférée » indique Me Emilie Sudre, l’avocate de Gisèle Pelicot.
De plus, Gisèle Pelicot a souhaité se rendre devant la justice pour réparer ce préjudice, mais n’a jamais demandé de « réparation à titre personnel » ajoute son avocate. Et face au tribunal, la victime de Dominique Pelicot reste sur cette ligne de conduite. Le média devra verser de l’argent, mais pas à elle.
40 000 euros versés à deux associations
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Si Gisèle Pelicot s’est battue pour que soit reconnu les agressions sexuelles, son combat contre Paris Match dévoile d’autres objectifs. Celui d’aider deux associations dans leurs actions. Devant le tribunal, son avocate annonce la nouvelle.
Gisèle Pelicot et Paris Match se sont entendus « pour que la somme de 40 000 euros soit versée à deux associations soutenant la cause de victimes de violences, notamment intrafamiliales » . La première association, qui s’appelle Isofaculté, aide les publics vulnérables au sein d’un centre équestre.
La deuxième, Women Safe and Children, accueille et intervient auprès des femmes et des enfants victimes de violences intrafamiliales. Un accord qui convient à Paris Match. « Le magazine se réjouit de cette solution qui permet d’aider des victimes de violences » indique leur avocat.
