Il découvre qu’il a un cancer agressif… grâce à ChatGPT
Alors que son médecin suspectait une simple infection, un homme a finalement découvert qu’il avait un cancer agressif de la thyroïde… grâce à ChatGPT. Retour sur cette folle histoire !

Il apprend qu’il a un cancer grâce à ChatGPT
Souvent utilisés comme des assistants pour nous aider dans notre quotidien, il arrive parfois que les outils d’intelligence artificielle comme ChatGPT jouent un rôle bien plus essentiel, notamment en ce qui concerne la santé. Récemment, un homme qui souffrait d’un mal de gorge persistant a beaucoup fait parler de lui en racontant comment l’IA lui avait « sauvé la vie ».
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Après avoir consulté une première fois, son médecin a indiqué qu’il s’agissait d’une petite infection à la gorge et que cela ne nécessitait pas d’examen supplémentaire. Par précaution, il s’est alors tourné vers ChatGPT. Si l’IA a évoqué une infection bénigne comme scénario probable, elle a aussi mentionné, avec prudence, la possible existence d’une tumeur.
Particulièrement inquiet, il est retourné voir son médecin afin de lui faire part de cette hypothèse. « J’ai demandé à faire une échographie. Elle m’a conseillé de ne pas la faire, mais je lui ai dit que je voulais quand même la faire », raconte-t-il sur Reddit. C’est après des examens qu’il a découvert qu’il était en réalité atteint d’un cancer agressif de la thyroïde.
Prudence avec la santé et l’IA
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Si cette histoire met en lumière le potentiel de l’intelligence artificielle dans l’aide au diagnostic, elle relance aussi le débat sur ses dangers. Des témoignages similaires émergent sur les réseaux sociaux, comme celui d’un internaute dont les calculs billiaires ont été identifiés grâce à ChatGPT. Pour autant, ces cas restent des exceptions et non une norme médicale.
En effet, de nombreux professionnels de santé rappellent que ces technologies ne remplacent pas l’avis d’un expert. Les conditions d’utilisation le précisent : ses services ne sont « pas destinés au diagnostic ou au traitement ». Vous l’aurez compris : mieux vaut voir l’IA comme un outil complémentaire et non pas comme un médecin à part entière.