Ils mettent en vente leur club libertin sur Le Bon Coin
Sur Le Bon Coin, on trouve de tout ! Et entre les traditionnelles pages auto et matériel électroménager, se glissent parfois quelques pépites, comme ce club libertin de Fougères.
Tout se vend sur Le Bon Coin
En quelques années, Le Bon Coin est devenu l’adresse incontournable des particuliers qui veulent faire des bonnes affaires. Voiture, téléphonie, électroménager… Tout y passe, pour le meilleur et pour le pire ! Et parfois, on tombe sur des annonces complètement hilarantes. L’année dernière, on se souvient par exemple de la vente d’un péage ou du palais de l’Élysée, mise en ligne par un Gilet Jaune !
Mais cette fois-ci, c’est dans un tout autre domaine que cette annonce est publiée. En effet, Thierry et Annie sont les gérants du Double Je, un club libertin de Fougères. Et c’est ainsi que sur l’annonce, on peut lire la description suivante : « urgent à vendre cause santé, club privé libertin à Fougères en Bretagne, aux portes de la Normandie et des Pays de la Loire. »
Un club libertin sur Le Bon Coin
Lorsque Thierry et Annie sont interrogés sur leur démarche, ils répondent simplement : « nous sommes une entreprise comme une autre non ? » Avant d’ajouter : « Le Bon Coin est le site de référence des petites annonces, on y trouve une rubrique entreprise. Et puis nous avons été refusés par d’autres annonceurs.» C’est donc tout naturellement qu’ils font la promotion de leur club libertin « avec sauna et hammam, dédiés aux personnes majeures et consentantes. » Et visiblement, leur établissement cartonne !
Sur 325 m² situés rue Laval…. ils accueillent régulièrement une clientèle qui fait parfois le déplacement sur 200 km à la ronde. « Notre réputation tient à la qualité des locaux, aux soins que nous y apportons, et à notre conception d’un club libertin », expliquent les gérants. Et lorsqu’on les interroge sur leur décision, ils expliquent sans ambiguïté « Pour nous c’était la finalité d’une vie libertine. En le transformant pour en faire ce qu’il est aujourd’hui, on a voulu transmettre ce qu’on aurait aimé trouver quand nous-mêmes fréquentions d’autres clubs ».