Alexandra Rosenfeld victime de violences conjugales de la part de Jean Imbert : son compagnon Hugo Clément sort du silence
Alexandra Rosenfeld a livré un témoignage bouleversant. En début de semaine, elle a confié avoir été victime de violences conjugales de la part de son ex, le cuisinier Jean Imbert.
Quelques instants plus tard, son compagnon actuel, le journaliste et activiste Hugo Clément, est sorti du silence par le biais d’une story postée sur Instagram.
Alexandra Rosenfeld dénonce les violences conjugales
Le 19 août 2025, Alexandra Rosenfeld a secoué les réseaux sociaux en publiant sur Instagram un témoignage bouleversant.
L’ex-Miss France 2006 y raconte avoir subi des violences conjugales de la part du chef Jean Imbert, qu’elle a fréquenté entre 2013 et 2014.
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Sans le nommer directement, elle écrit : « Ce que j’ai vécu, c’était de la violence. Il m’a mis un coup de tête, une fois. Mais bizarrement, ce n’est pas ça qui m’a marquée. Ce qui m’a abîmée, c’était tout ce qu’il y avait autour : le mépris, les rabaissements, les silences… ».
Déjà citée anonymement en avril 2025 sous le pseudonyme Éléonore dans une enquête du magazine Elle, elle a cette fois levé le voile : « Je ne suis pas Éléonore, je suis Alexandra. Et maintenant, je parle ».
Son post a dépassé 169 000 likes et suscité des milliers de réactions. En réponse, les avocats de Jean Imbert ont tenté de minimiser, expliquant que le coup de tête évoqué aurait eu lieu alors que leur client était « empoigné ».
Des propos que l’ancienne Miss réfute, soutenue par d’autres ex-compagnes, comme Lila Salet, qui décrivent elles aussi des comportements violents.
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Hugo Clément réagit
Au milieu de cette tempête, Alexandra Rosenfeld a trouvé un appui solide : celui de son compagnon Hugo Clément.
Le journaliste a sobrement relayé la publication dans sa story Instagram et partagé une vidéo de l’ex-Miss lors d’un concert, avec un simple mot : « Le courage ».
Alexandra Rosenfeld a insisté sur le sens de sa démarche : « Pas par vengeance, pas contre lui. Pour elles. Pour nous », souhaitant surtout encourager d’autres femmes à parler.
Un témoignage que Caroline Barel, vice-présidente de l’association MeTooMedia, a qualifié d’« extrêmement courageux » dans Le Parisien.