Charles III éprouvé par le cancer, un proche se confie : « On a l’impression… »
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Malgré les apparences, Charles III serait bel et bien éprouvé par la maladie. Une source proche de la couronne témoigne.
Le cancer ronge la famille royale
L’annonce du cancer de Charles III a été suivie de près par celle de Kate Middleton. Un coup dur pour la couronne qui doit composer avec deux membres malades, aux prises avec une forme fluctuante. Toutefois, quand ils apparaissent en public, l’un comme l’autre font bonne figure. Sourires, signes de main, vigueur… Les britanniques en viennent même à douter. À tort.
En effet, Charles III serait plus fatigué qu’il n’y paraît. Et du haut de ses 75 ans, le souverain peine à maintenir l’image d’un homme fort face à la maladie. « On a l’impression qu’il va bien, mais il est toujours malade », révèle ainsi une source proche de la couronne. En effet, tout serait géré en interne pour « donner l’impression qu’il va bien ». Ce, même si Charles III se trouve dans un mauvais jour.
D’ailleurs, ceux qui accompagnent le roi au quotidien ne seraient pas surpris s’il s’effondrait « dans un fauteuil à la maison » pour reprendre des forces. « Le cancer de Charles III n’a pas disparu, comme le palais l’a dit, et pour être tout à fait honnête, l’idée autrefois répandue selon laquelle il vivra jusqu’à un âge similaire à celui de sa mère ou de son père est désormais moins répandue », reprend cette même source. De quoi quelque peu décontenancer les fans de la couronne.
Une annonce controversée
Le cancer de Charles III n’est pas une mince affaire. En plus de son traitement, le roi doit également gérer des désaccords avec ses proches. Notamment son épouse Camilla, qui ne voyait pas d’un bon œil la décision du souverain de divulguer son état de santé au monde entier. Elle s’y est d’ailleurs fermement opposée comme on l’apprend dans l’ouvrage Catherine : princesse de Galles.
Malgré tout, Charles III campe sur ses positions. Ce dernier estime en effet que sa maladie est l’occasion de « prendre les devants et, ce faisant, d’encourager les hommes présentant des symptômes similaires à consulter un médecin en temps utile ».
Une initiative payante, puisque dans les 48 heures qui ont suivi l’annonce, le National Health Service a fait état de 26 000 visites sur la page consacrée à l’hypertrophie bénigne de la prostate. Ce, contre 1 400 visites en temps normal.
