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Guillaume Canet, cette photo avec son ex Marion Cotillard qui surprend !

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Retour sur le conte de fées de Marion Cotillard et de Guillaume Canet

Au début du second millénaire, Guillaume Canet a donné la réplique à la solaire Marion Cotillard, alors tous deux au début d’une ascension qui allait marquer durablement le cinéma français. Dès les premières lignes du scénario de Jeux d’enfants, quelque chose d’unique s’est produit : une alchimie immédiate, presque instinctive, qui dépassait la simple relation professionnelle. La magie a opéré entre les deux acteurs avant même le premier clap, comme si leurs personnages avaient trouvé en eux un terrain d’expression naturel.

Contraints par l’histoire à être complices, à se défier, à s’aimer et à se provoquer, ils ont très vite développé une connexion rare. Leur jeu était si fluide, si sincère, qu’ils en venaient parfois à oublier la présence des caméras. Totalement investis dans ce film qui allait devenir culte, ils ont mis une intensité incroyable dans chaque scène, créant une dynamique qui a frappé autant l’équipe de tournage que le public quelques mois plus tard.

Leur complicité à l’écran était si évidente qu’elle a immédiatement alimenté les rumeurs… et laissé une trace indélébile dans l’histoire du cinéma français.

À l’époque, Guillaume Canet est déjà en couple avec une mannequin allemande, un amour jeune mais intense, dont la légende raconte qu’il a démarré par un véritable coup de foudre. Leur connexion aurait été si immédiate qu’elle a balayé toute hésitation : malgré leur âge encore tendre, les deux amoureux ont décidé de se marier seulement deux ans après leur tout premier échange de regard. Une décision fulgurante, portée par la passion, qui a souvent été commentée tant elle semblait à la fois romantique et audacieuse.

Cerise sur le gâteau, lorsque Guillaume Canet passe pour la première fois derrière la caméra pour réaliser son premier long-métrage, il choisit de lui confier l’un des rôles principaux. Un geste fort qui montre la confiance totale qu’il porte à celle qui partage alors sa vie.

Pour la jeune femme, cette proposition est à la fois une marque d’amour, un défi professionnel et une immense pression. Elle le reconnaîtra elle-même plus tard : au vu des enjeux, « il y avait un mélange d’excitation, d’angoisse. »
Une phrase qui résume parfaitement la fragilité de ce moment où la vie personnelle et la vie artistique s’entremêlent, parfois jusqu’à se confondre.

La suite, les fans de Guillaume Canet la connaissent sur le bout des doigts. Malgré un début d’histoire passionné et fusionnel, la réalité du quotidien finit par rattraper le couple. Tous deux lancés dans des carrières exigeantes, avec des tournages qui s’enchaînent, des déplacements constants et une pression professionnelle grandissante, ils commencent progressivement à s’éloigner l’un de l’autre. Ce n’est pas une rupture brutale, mais plutôt une distance silencieuse qui s’installe, presque malgré eux, à mesure que leurs agendas se remplissent et que le temps partagé se réduit comme peau de chagrin.

Dans ces circonstances, il devient difficile d’imaginer fonder une famille, ou même de construire une stabilité à long terme. Le rythme effréné de leurs vies respectives ne laisse plus la place nécessaire pour préserver le couple qu’ils formaient au départ. C’est pourquoi, alors que tout le monde les pensait inséparables et promis à une longue histoire, ils prennent une décision mûrement réfléchie : divorcer d’un commun accord.

Une séparation sans scandale ni éclats, simplement guidée par la lucidité et le respect, qui marque la fin d’un chapitre mais aussi le début d’un nouveau chemin pour chacun.

De son côté, Marion Cotillard est déjà en couple avec Julien, le fils du producteur et réalisateur Claude Berri. Leur romance, décrite comme « intense et acharnée », était de celles qui brûlent vite et fort, portée par une passion qui ne laissait que peu de répit. Pourtant, derrière cette relation vibrante se cachaient des failles profondes, des zones d’ombre que Marion Cotillard ne pouvait ignorer. Les anciens démons du jeune homme ont en effet rapidement semé la panique, rendant leur histoire aussi bouleversante que fragile.

En 1998, une première alerte vient briser l’équilibre encore précaire du couple. Julien, traumatisé par la mort brutale de sa mère, traverse une détresse psychologique d’une immense violence. Cette souffrance le conduit à une première tentative de suicide, un événement qui plonge Marion dans un état de choc et de sidération. La jeune actrice, encore au début de sa carrière, se retrouve confrontée à une épreuve d’une intensité rare, dépassée par la gravité de la situation.

Les conséquences de cette tentative sont dramatiques : Julien devient tétraplégique, un bouleversement irréversible qui transforme non seulement son quotidien, mais aussi la nature même de leur relation. Marion Cotillard, profondément affectée, doit composer avec cet événement tragique tout en continuant à avancer professionnellement.

Juste avant le début du tournage avec Guillaume Canet, un nouveau drame survient : Julien met fin à ses jours, réalisant ce qu’il avait déjà tenté auparavant. Pour Marion, cette disparition est un choc absolu, une blessure intime qui laissera une empreinte durable sur sa vie personnelle et émotionnelle. Cette tragédie survenue en amont de Jeux d’enfants donne un éclairage poignant sur l’état d’esprit dans lequel elle aborde ensuite le tournage avec Guillaume Canet, mêlant douleur, fragilité et besoin d’échapper à un quotidien ravagé.

Un indice de taille

Comme il en avait l’habitude dans ses émissions, Thierry Ardisson aimait lancer des défis parfois déstabilisants à ses invités, des moments devenus cultes pour leur audace et leur spontanéité. Fidèle à cette tradition, lorsqu’il reçoit les deux vedettes de Jeux d’enfants, il décide de passer de la théorie à la pratique. Sur le plateau, dans une ambiance survoltée, l’homme en noir se permet une demande aussi inattendue que provocante : il propose à Guillaume Canet et Marion Cotillard de s’embrasser sur la bouche, en direct, devant un public en délire.

Cette initiative, pensée pour créer un moment télévisuel marquant, ne produit pas l’effet escompté. Au contraire, elle met les deux acteurs dans une position délicate. Le complice de Laurent Baffie s’attire immédiatement leurs foudres, non pas par caprice, mais parce que la requête touche à leur vie sentimentale de l’époque. Guillaume comme Marion rappellent alors, d’une même voix, l’importance du respect de leurs partenaires respectifs, tentant de désamorcer la situation avec diplomatie. Leur refus poli mais ferme est une façon pour eux de préserver leur vie privée sans alimenter le spectacle.

Pourtant, malgré leurs explications, le malaise est palpable. Et il n’en faut pas davantage pour que les plus folles rumeurs commencent à circuler dans la presse. Les regards esquivés, les sourires gênés, la tension du moment : autant d’éléments scrutés et interprétés par les observateurs. Très vite, certains imaginent des sentiments cachés, d’autres prétendent voir dans leur gêne la preuve d’une complicité plus profonde.
Ainsi, un simple défi télévisé se transforme en un véritable terrain fertile pour la rumeur, alimentant encore un peu plus le mythe autour du duo Canet–Cotillard.

Quatre ans plus tard, les deux comédiens acceptent de poser ensemble sur le tapis rouge, un geste symbolique qui attire immédiatement l’attention des médias. Guillaume Canet, alors nominé pour son second film Ne le dis à personne, apparaît plus épanoui que jamais, rayonnant d’une confiance et d’une maturité nouvelles. Et la réciproque est tout aussi vraie : Marion Cotillard, elle aussi au sommet de son art, affiche une présence à la fois sereine et lumineuse. Leur complicité saute aux yeux, bien différente de celle, plus maladroite et hésitante, de leurs débuts médiatiques.

Dès lors, au vu de leur passion commune pour le cinéma, il semble presque naturel qu’ils décident d’entamer une longue série de projets ensemble. Leur collaboration, nourrie de respect et d’admiration mutuels, devient l’une des plus suivies du cinéma français. À chaque nouvelle apparition côte à côte, les fans y voient la confirmation d’un duo artistique en pleine harmonie, capable de se sublimer dans des univers très différents.

Ce tapis rouge marque ainsi le début d’une nouvelle ère pour eux, à la fois professionnelle et personnelle, qui ne cesse depuis d’alimenter l’attention du public.

Un duo de chic et de choc

En leur offrant les premiers rôles dans son long-métrage Dernier Vol, le réalisateur Karim Dridi a eu une véritable excellente idée, presque un coup de génie. Réunir Guillaume Canet et Marion Cotillard à l’écran relevait à la fois de l’évidence artistique et du pari audacieux, tant leur duo avait déjà marqué les esprits. Avec ce film, ils confirment une nouvelle fois à quel point leur complicité fonctionne, même dans un registre bien différent de Jeux d’enfants.

De surcroît, ils parviennent à faire passer les cinéphiles du rire aux larmes, naviguant avec une incroyable maîtrise entre émotion, tension et moments plus légers. Leur jeu, subtilement nuancé, touche le public en plein cœur et montre l’étendue de leur talent, aussi bien séparément qu’en tant que duo. Cette alchimie contribue largement à la force du récit, renforçant l’immersion et la charge dramatique du film.

Et rien que pour cela, Dernier Vol mérite d’être vu. Non seulement pour son scénario, soigneusement construit et porté par une mise en scène soignée, mais aussi pour la prestation du couple, qui signe ici l’une de leurs collaborations les plus marquantes. Un film qui confirme, s’il en fallait encore, que lorsqu’ils jouent ensemble, il se passe quelque chose d’unique.

Du propre aveu de Guillaume Canet, l’expérience des Petits Mouchoirs a été absolument unique en son genre. Pour lui, ce tournage n’avait rien d’un projet ordinaire : il s’agissait d’une aventure humaine, presque familiale, tant l’implication émotionnelle était forte. Et pour cause : pour cette occasion très spéciale, ce perfectionniste jusqu’au bout des ongles a choisi d’engager tous ses ami(e)s du métier, créant un cocon créatif où chacun se sentait à la fois acteur et membre d’une bande inséparable.

Ce choix audacieux donne au film une authenticité rare. La complicité entre les comédiens ne se joue pas, elle se ressent naturellement, scène après scène. On perçoit les liens réels qui les unissent, leurs habitudes, leur manière de se taquiner, de se soutenir — autant d’éléments qui insufflent une vérité bouleversante aux personnages.

Résultat des courses : les admirateurs de la première heure ont l’impression d’en faire partie, de vivre ce séjour avec eux, de partager leurs joies, leurs tensions et leurs fêlures. Le public se sent littéralement intégré à cette bande d’amis, comme s’il avait été invité lui aussi à la table du dîner ou sur la plage du bassin d’Arcachon.
Une immersion totale qui explique peut-être pourquoi Les Petits Mouchoirs reste, pour beaucoup, l’un des films les plus marquants de la carrière de Guillaume Canet.

Pour faire la promotion de Rock’n Roll, Marion Cotillard et Guillaume Canet ont eu des idées à la pelle, débordant d’imagination pour créer un véritable événement autour du film. Plutôt que d’opter pour une communication classique, ils choisissent de mettre en scène leur propre quotidien, transformant leur vie privée en terrain de jeu promotionnel. Une démarche audacieuse, assumée, et surtout pleine d’autodérision — une marque de fabrique qu’ils maîtrisent à la perfection.

Quelques semaines avant la sortie en salle, ils enchaînent donc les paris et les défis, jouant à fond la carte du naturel (ou du faux naturel parfaitement orchestré). Via leurs comptes Instagram, ils dévoilent une série de clichés personnels inédits, soigneusement choisis pour surprendre, amuser et intriguer leurs abonnés. On les découvre dans des situations totalement décalées : en train de ronfler sans glamour aucun, déguisés de manière improbable, ou encore figés dans des postures franchement gênantes.
À travers ces photos, ils prouvent non seulement qu’ils ont du second degré à revendre, mais aussi qu’ils n’ont pas peur de se tourner eux-mêmes en dérision pour mieux capter l’attention.

Cette stratégie, à la fois intime et humoristique, fait mouche. Amusés par ces anecdotes croustillantes et ces images inattendues, les internautes n’en perdent pas une miette. Chaque publication devient un mini-événement, partagée massivement et commentée avec enthousiasme. Cette campagne, aussi déjantée qu’intelligente, contribue largement à renforcer la complicité perçue du couple et à installer Rock’n Roll comme l’un des films les plus attendus du moment.

Quelques mois avant la pandémie, la suite des Petits Mouchoirs arrive en salles et pulvérise littéralement des records d’entrée. Le public, déjà très attaché au premier volet, se précipite pour retrouver cette bande d’amis devenue iconique. Quelle joie de revoir ce casting cinq étoiles, tant apprécié pour son authenticité et sa complicité à l’écran. Chaque acteur reprend son rôle avec une justesse remarquable, comme si le temps s’était suspendu depuis le premier film.

Malgré l’accident dramatique puis la mort de l’un des personnages, éléments centraux autour desquels s’articule l’intrigue, le film parvient à maintenir un équilibre subtil entre émotion et humour. Il explore le deuil, la culpabilité, les difficultés de l’amitié et la reconstruction, tout en conservant cette énergie chaleureuse et humaine qui avait fait le succès du premier opus.

Le résultat ? Une œuvre qui, au-delà de la mélancolie, offre une véritable leçon de vie et de résilience. Le public en ressort souvent ému, touché par la manière dont les personnages tentent d’avancer malgré les épreuves et par la force des liens qui les unissent.

Une suite à la hauteur des attentes, qui confirme encore une fois le talent de Guillaume Canet pour raconter des histoires vraies, sensibles et profondément humaines.

Le cauchemar éveillé de Guillaume Canet

Fin juin dernier, les fans de deux des plus grandes stars du septième art ont littéralement halluciné. Depuis quelque temps déjà, des rumeurs circulaient ici et là, laissant entendre que quelque chose n’allait plus entre eux. Mais malgré ces bruits de couloir, personne n’imaginait une seule seconde que les parents de Louise et Marcel allaient réellement se séparer. Leur couple, souvent perçu comme solide et discret, semblait à l’abri des tempêtes médiatiques. Et pourtant…

Lorsque le communiqué de presse tombe, la stupeur est générale. Les mots utilisés, sobres mais définitifs, ne laissent aucune place au doute : la séparation est officielle. En quelques minutes, la nouvelle fait le tour des médias, déclenchant un raz-de-marée de réactions entre incompréhension, tristesse et spéculations. Pour beaucoup, c’est la fin d’un chapitre mythique, celui d’un duo qui avait su allier vie familiale et carrière internationale.

Comble de l’horreur pour leurs admirateurs, malgré la bourde de Léa Salamé qui avait laissé entendre plus qu’elle n’aurait dû dans une de ses interviews, le couple refuse catégoriquement de s’exprimer davantage. Ils ne souhaitent pas se justifier, ni entrer dans les détails de cette rupture ultra médiatisée. Leur silence, ferme et assumé, montre leur volonté de préserver ce qu’il reste d’intimité et de protéger leurs enfants d’un emballement qui s’annonce déjà incontrôlable.

Une décision qui, en dépit de la frustration du public, témoigne d’une grande dignité dans un moment aussi douloureux.

Un rebondissement de taille

Il y a quelques heures à peine, Guillaume Canet a créé une véritable stupeur sur la Toile. En un seul post, il a déclenché un tourbillon de réactions, prouvant une nouvelle fois sa capacité à mobiliser instantanément sa communauté. Les internautes, déjà sur le qui-vive depuis plusieurs semaines en raison de rumeurs persistantes, savaient qu’il préparait quelque chose. Mais rien ne les avait réellement préparés à une annonce aussi concrète et aussi avancée dans le processus de création.
En effet, même s’il avait laissé filtrer quelques indices lors de précédentes interviews, le réalisateur vient de confirmer officiellement avoir terminé le montage de Karma, son prochain film, présenté comme l’un des projets les plus ambitieux de sa carrière récente. Cette étape majeure marque l’entrée du film dans sa dernière ligne droite avant sa sortie, ce qui n’a pas manqué de susciter une vague d’enthousiasme immédiate. Les fans, impatients, ont envahi les commentaires pour exprimer leur excitation et leurs attentes.

Pour ajouter au mystère, et surtout pour titiller un peu plus la curiosité du public, Guillaume Canet a révélé une photo inédite de Marion Cotillard, capturée en pleine action sur le tournage. Ce cliché, à la fois intense et mystérieux, laisse entrevoir l’atmosphère du film : un mélange de tension, d’émotion et de profondeur dramatique. Il accompagne cette image d’un message personnel particulièrement révélateur :
« J’ai tellement hâte de vous en montrer plus que je ne résistais pas à l’idée de vous en parler déjà un peu. »
Un aveu qui montre à quel point il est fier du travail accompli, mais aussi à quel point il brûle d’impatience de révéler davantage de détails sur un projet qui semble lui tenir à cœur plus que jamais.

Accompagné par son ancienne muse — Marion Cotillard — mais aussi par une véritable banderille d’acteurs géniaux, Guillaume Canet souligne l’ampleur du talent mobilisé autour de Karma. Il ne tarit pas d’éloges sur l’équipe technique et artistique, évoquant une collaboration harmonieuse, presque organique, qui a porté le film du début à la fin. Il conclut son message par une déclaration chaleureuse :
« J’ai eu l’immense chance d’être entouré par des personnes très talentueuses à la technique et des actrices et acteurs prodigieux ! »
Ces mots témoignent de sa gratitude, mais aussi de la satisfaction profonde que lui a apportée ce tournage.

Pour en avoir le cœur net et découvrir enfin le résultat final, il faudra toutefois patienter jusqu’au mercredi 21 octobre 2026, date de sortie officielle du film. D’ici là, le public espère obtenir au moins une première bande-annonce et un aperçu de l’intrigue, tant les attentes sont fortes.
Autant dire que la machine à suspense est lancée, et qu’elle n’est pas près de s’arrêter.