« Il va mourir… » : drame pour Faustine Bollaert
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Dans la grande famille des animatrices, Faustine Bollaert décroche la palme de la plus bienveillante. En effet, avec tendresse, elle récolte les confidences de tous les anonymes. Aussi, chaque midi, la femme de Maxime Chattam dissèque à la loupe les parcours pas comme les autres des participants de son émission. Sur le plateau, elle n’est pas seule pour mener à bien cette mission de haute voltige. De surcroit, elle sollicite également l’aide de spécialistes. Or, personne n’avait prévu que la thématique de ce mercredi 25 juin fasse basculer le tournage !
La double peine de Faustine Bollaert
Par le passé, Faustine Bollaert a eu dû affronter de nombreuses épreuves. D’abord, la mort de son fiancé dans un accident de moto l’a rongé de l’intérieur. Comble de l’horreur, elle ne s’explique toujours pas la disparition de sa meilleure amie. Enfin, suite à une opération chirurgicale qui a mal tourné, son frère a multiplié les crises de tétanie.
On l’a compris, la mère d’Abbie et de Peter a toujours été sur un fil. Certes, sa rencontre avec le romancier Maxime Chattam lui a permis de panser la plupart de ses plaies. Aussi, lorsqu’elle prépare ses émissions, elle enfile son costume d’ange gardien. Or, force est de constater que rien ne laissait présager que la maman de Maxence la déstabilise à ce point !
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Un constat sans appel
« Pète ton crâne » ; « Buddha blue », cette drogue de synthèse a eu un effet dévastateur sur le jeune adolescent. De surcroit, plus le temps passait, plus sa consommation via des vapoteuses augumentait. De l’avis de l’expert des addictions Laurent Karila, les conséquences sont dramatiques. Il a expliqué à Faustine Bollaert que les substances se « fixent sur les récepteurs du cerveau. »
En septembre 2023, quinze jours après son arrivée en internat, la mère de Maxence ne reconnait plus son fils. « Il a mauvaise mine et il était amaigri. » Elle a d’abord pensé que cela était dû au « départ de la maison, l’alimentation ou encore à la fatigue. »
Or, le coup de fil d’un membre de l’équipe pédagogique a provoqué un déclic. Sur place, ce dernier remet les pendules à l’heure. À ses yeux, sa structure n’est pas adaptée pour Maxence. Quelques heures après cet entretien, l’adolescent joue la carte de la transparence et lui confie qu’il fume du cannabis. Or, au lieu de s’arranger, la situation va rapidement devenir hors de contrôle.
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En 2024, Maxence est au bout du rouleau. En plus de faire « une grosse dépression« , il ment sans arrêt à son entourage et refuse tout soutien extérieur. « Agacée » par l’attitude désinvolte de son enfant, mais également « dans le déni« , sa génitrice ne sait plus quoi faire afin d’apaiser ses démons.
Juste après une tentative de suicide de Maxence, elle prend les choses en main. Elle décide de le faire « hospitaliser dans un service de psychiatrie. » Or, sans qu’elle s’explique le pourquoi du comment, Maxence fait une overdose de la substance évoquée plus haut. Cette fois, c’est la goutte d’eau.
Son bilan ne va pas laisser Faustine Bollaet indifférente. « Je dis à mon mari : ‘Si ce n’est pas aujourd’hui, si Maxence ne meurt pas là, il va mourir un jour. » Accepté dans un centre thérapeutique spécialisé, Maxence remonte pas à pas la pente. On lui souhaite le meilleur pour la suite !
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