Inoxtag frôle la mort après une chute en pleine ascension du Mont Blanc
Galvanisé par son ascension de l’Everest, Inoxtag poursuit sa quête des sommets les plus techniques et périlleux.
Passionné par les sommets, Inoxtag se lance un nouveau défi
Les sommets sont sa nouvelle passion. Une véritable obsession pour Inoxtag, qui a partagé son aventure au sommet de l’Everest avec ses millions d’abonnés au travers du documentaire Kaizen. Il y a un an déjà, Inès Benazzouz de son vrai nom, se lançait un défi insensé. Une ascension compliquée aussi bien physiquement que moralement, dont le jeune vidéaste affirme être sorti grandi.
Le succès de son aventure sur l’Everest n’a pas été sans conséquences. Loin de se satisfaire d’une réussite, le YouTubeur compte bien renouveler l’essai. Chose promise, chose due : les utilisateurs des réseaux sociaux ont découvert ce 10 mai le film de sa nouvelle ascension.
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Accompagné du guide et photographe Mathis Dumas, qui l’a accompagné lors de ses précédentes tribulations, le jeune homme s’est attaqué à l’aiguille Verte des Alpes. Un défi qui leur paraissait moins robuste que l’Everest, mais face auquel ils ont rapidement déchanté.
« La reprise est dure »
« J’ai survécu au sommet le plus mortel des Alpes » : annonce la vidéo publiée sur sa chaîne YouTube. Un titre aussi alléchant qu’inquiétant qui laisse présager de nombreux déboires. Sommet du massif du Mont-Blanc culminant à 4 122 mètres, l’aiguille Verte des Alpes n’est pas moins compliquée à gravir que l’Everest pour autant. Un constat qui a rapidement frappé Inoxtag au cours de ces quatre jours.
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« En comparaison de ma préparation pour l’Everest, l’année dernière je pensais que ces 4 jours allaient être plutôt faciles mais je suis très vite rattrapé par la réalité, la reprise est dure », confie-t-il à la caméra.
Aussi périlleuse l’ascension soit-elle, c’est la descente de l’aiguille Verte des Alpes qui représente un véritable défi. Au point qu’Inoxtag a bien cru y laisser la vie. Alors qu’il s’applique à redescendre, le jeune homme perd appui et glisse… avant de se rattraper in extremis. « Dévisser [perdre l’équilibre sur une surface inclinée, ndlr] comme ça juste au-dessus de la rimaye, ça aurait pu être fatal. Heureusement que je m’en sors bien », analyse-t-il. « Pour de vrai, j’ai morflé je le savais, et là je morfle ».