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« J’ai peur que demain je me fasse virer » : Léa Salamé sur la sellette ? Elle est inquiète

Publié par Andrianaivo RAOELIJAONA le 01 Août 2022 à 12:33
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Invitée dans l’émission Dr Good, Léa Salamé s’est livrée sans détour sur sa carrière. Elle a notamment révélé sa plus grosse crainte.

Peu de gens s’attendaient à l’annonce de Laurent Ruquier. Bien que l’animateur soit toujours présent sur France 2, il ne sera plus aux commandes du programme On est en direct. « J’ai essayé, mais malgré mon entente naturelle avec Léa Salamé, je considère l’exercice trop frustrant », révèle-t-il sur les réseaux sociaux. La journaliste de 42 ans va donc prendre les rênes dès la rentrée. Elle sera la présentatrice de l’émission du samedi On ne peut plus rien dire. Voilà un nouveau défi dans sa carrière qu’elle s’apprête à relever non sans quelques appréhensions. Au micro de Michel Cymes dans le magazine Dr Good sur Instagram, l’intéressée s’est confiée sans langue de bois sur sa peur de l’échec.

Léa Salamé se livre sur son avenir professionnel

A titre d’information, Léa Salamé a appris le droit à l’université Panthéon-Assas et Science Po Paris. Elle a également étudié à la New York University. Ayant assisté de près aux attentats du 11 septembre 2001, elle se tourne vers le journalisme. La jeune femme fait ses premiers pas sur la chaîne parlementaire LCP/Public Sénat aux côtés de Jean-Pierre Elkabach. Forte de cette première expérience, elle enchaîne les émissions de France 24 à France 2 en passant par I-Télé. Depuis septembre 2021, suite au départ de Natacha Polony, elle co-anime avec Laurent Ruquier l’émission On n’est pas couché.

LA VIDEO DU JOUR A NE PAS MANQUER

La compagne de Raphaël Glucksmann va prochainement franchir un nouveau cap dans sa carrière. Elle sera en effet aux commandes du programme dérivé On ne peut plus rien dire. Face à Michel Cymes, la quadragénaire a fait quelques révélations sur cette promotion en raison du départ de son acolyte. Tout porte à croire que la talentueuse journaliste n’est pas totalement sereine. « La plus grande peur dans ma vie c’était la peur de perdre. La peur d’échouer, la peur de l’échec. Je pense que c’est la chose qui m’a le plus terrorisée », confie-t-elle. Ce, avant d’ajouter :

« Jusqu’à maintenant, j’ai peur que ça s’arrête en fait. J’ai peur que demain je me fasse virer. Je vais lancer l’émission du samedi soir seule puisque Laurent Ruquier arrête, moi je dis à tout le monde : ‘C’est 50/50, 50% de chance que j’y arrive, 50% de chance que j’échoue »

 
 
 
 
 
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« C’est le syndrome de l’exilé »

Sur sa lancée, Léa Salamé a expliqué que sa plus grande peur vient peut-être du fait qu’elle ait dû travailler d’arrache-pied pour se faire une place ou encore qu’elle soit une réfugiée politique. A titre d’information, elle est la fille d’un ancien ministre de la Culture et professeur libanais. Elle a quitté son pays natal à l’âge de cinq ans pour s’installer à Paris. Toujours lors de cet entretien, l’invitée de Michel Cymes a confié : « C’est le syndrome de l’exilé (…) Tu as toujours peur qu’à un moment, même si tu y es arrivé, même si tu as été parfaitement intégré, on te dise : ‘C’est fini !’ Je pense que cette peur-là, il (son père, ndlr) me l’a transmise ». Selon ses propos, cette crainte reste néanmoins « un moteur » pour aller de l’avant et pour relever les défis.