Meghan Markle accusée de vol : elle est au cœur d’un gros scandale
Meghan Markle est-elle une voleuse ? C’est en tout cas ce que laisse entendre la journaliste Paula Froelich, qui n’a pas hésité à relancer la polémique autour de l’ancienne actrice devenue duchesse. Selon elle, un incident survenu après un shooting photo pour le magazine Variety aurait laissé un sérieux malaise.
La compagne du prince Harry serait en effet repartie avec une robe d’une valeur de 1 500 euros, un modèle de créateur habituellement strictement encadré et retourné juste après utilisation.
Cette version des faits a immédiatement fait réagir et a ravivé les tensions autour de Meghan Markle, déjà habituée aux critiques et aux accusations en tout genre.
Alors, la duchesse de Sussex a-t-elle réellement dérobé cette tenue ? L’affaire agite les réseaux sociaux, divise l’opinion et pose une nouvelle fois la question de la relation compliquée entre Meghan Markle et les médias. Entre soupçon, exagération et véritable scandale, difficile de savoir où se situe la vérité. Ce qui est sûr, c’est que ce nouvel épisode n’arrange en rien sa réputation auprès de ceux qui guettent le moindre faux pas.
Meghan Markle une petite voleuse ?
Les faits remontent à 2022, et pourtant, le scandale n’a véritablement éclaté que le 21 novembre 2025, soit trois ans plus tard. Ce jour-là, le média NewsNation publie une affirmation qui fait immédiatement l’effet d’une bombe. Selon eux, la robe verte que Meghan Markle porte dans la bande-annonce d’un épisode de Noël sur Netflix de With Love, Meghan ressemble de manière troublante à celle qu’elle avait portée lors d’un shooting photo pour Variety en 2022. La ressemblance est telle que les commentateurs s’interrogent : est-ce un simple hasard stylistique ou quelque chose de plus compromettant ?
Pour la journaliste Paula Froelich, il ne s’agit pas du tout d’une coïncidence : pour elle, c’est clairement un vol. Elle affirme sans détour que Meghan Markle a littéralement emporté la robe du shooting, une pièce évaluée à 1 460 euros, sans autorisation préalable. Selon Froelich, la duchesse « a emporté la robe de la séance photo sans demander », une accusation qui sous-entend un comportement volontaire plutôt qu’un oubli ou un malentendu.
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Et ce n’est pas tout : toujours selon la journaliste, Meghan n’aurait pas seulement pris une robe, mais deux. Elle aurait également embarqué un autre modèle, l’Ushuaïa, une robe asymétrique vert émeraude signée Galvan, comme le rapporte Closer. Deux pièces de créateur disparues après une séance photo : de quoi alimenter encore davantage les soupçons et donner du grain à moudre aux critiques les plus virulents.
Ce scandale n’est d’ailleurs pas nouveau. Ce shooting photo, déjà bien commenté à l’époque, avait fait naître une première vague d’accusations. En 2024, la journaliste Vanessa Grigoriadis relance la polémique dans son podcast Heretics. Elle y affirme que Meghan Markle aurait gardé « beaucoup de vêtements et accessoires » après la séance Variety, et pas seulement pour les admirer : elle les aurait même portés par la suite.
Autrement dit, l’affaire s’inscrit dans une série de témoignages concordants qui, pour certains, commencent à dessiner un schéma récurrent… du moins aux yeux de ceux qui la critiquent déjà depuis longtemps.
Des propos « hautement diffamatoires »
Heureusement pour Meghan Markle, la police ou le fisc n’ont jamais décidé de mettre leur nez dans cette affaire. Aucun dépôt de plainte, aucune enquête officielle : le scandale reste pour l’instant cantonné au terrain médiatique et aux réseaux sociaux. Mais cela n’empêche pas les accusations de se poursuivre et de prendre de l’ampleur, surtout dans un contexte où la duchesse de Sussex est régulièrement ciblée par les critiques.
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Certains estiment qu’elle n’est pas à plaindre, compte tenu de sa situation financière confortable et de sa notoriété internationale. Dès lors, l’affaire soulève une question qui divise : s’agit-il d’un simple malentendu, comme une confusion logistique autour des tenues prêtées ? Ou Meghan Markle a-t-elle délibérément emporté les bijoux et vêtements mis à sa disposition pour le shooting ?
Face à ces accusations insistantes, l’entourage de Meghan a réagi rapidement. Le 25 novembre dernier, l’un de ses porte-parole a dénoncé des allégations « hautement diffamatoires », pointant du doigt le caractère excessif et non fondé de ces affirmations. Selon lui, il ne s’agit en aucun cas d’un vol : le camp de Meghan assure au contraire que les objets ont été conservés avec l’accord du média et des responsables présents lors du shooting.
Autrement dit, si la duchesse avait gardé certaines pièces, ce serait parce qu’un accord formel – ou du moins un consentement clair – avait été donné à ce moment-là. Cette version des faits tente de rétablir la confiance et de couper court aux rumeurs, mais comme toujours lorsqu’il s’agit de Meghan Markle, le débat continue de faire rage des deux côtés.
Ce nouvel épisode montre encore une fois à quel point la duchesse reste au centre des polémiques, chaque geste étant scruté et interprété, parfois bien au-delà de ce qu’il représente réellement.
« Tous les objets conservés ont été faits dans une totale transparence et conformément aux arrangements contractuels« , annonce le porte-parole, insistant sur le fait que rien n’a été dissimulé et que chaque décision avait été prise dans le cadre prévu avec les équipes du shooting. Cette précision vise clairement à apaiser les tensions et à rappeler que, dans le milieu des séances photo de prestige, il n’est pas rare que certains vêtements ou accessoires puissent être laissés aux personnalités, lorsque cela a été validé en amont.
De son côté, Meghan Markle n’a pas elle-même réagi à la polémique. Un silence qui peut être interprété de différentes manières : certains y voient une stratégie classique de la duchesse, qui préfère ne pas donner de poids supplémentaire aux accusations en les commentant publiquement. D’autres pensent qu’elle souhaite laisser son équipe gérer la communication pour éviter toute escalade. Quoi qu’il en soit, cette absence de réaction laisse flotter un léger mystère et entretient, malgré elle, la curiosité autour de cette affaire déjà très médiatisée.
