Icône menu hamburger Icône loupe de recherche
  1. TDN >
  2. Santé

Covid-19 : cette conséquence dramatique du virus inquiète les hôpitaux

Publié par Celine Spectra le 02 Sep 2021 à 10:02
Partagez ce contenu sur Facebook
Partagez ce contenu sur Whatsapp
Partagez ce contenu sur Twitter
Partagez ce contenu par mail

Mardi 31 août, la revue scientifique The Lancet Public Health a publié une étude portant sur 22 pays, et elle révèle que le nombre de transplantations d’organes a chuté depuis le début de la crise sanitaire Covid-19.

Publicité

En effet, le nombre de transplantations réalisées lors de la première vague en 2020 a ainsi chuté de 31 % comparé à l’année précédente et également de plus de 15% sur l’ensemble de l’année 2020.

Une récente étude démontre que les greffes d'organes sont en baisse de près de 16% entre 2019 et 2020

Image Pixabay

>>> À lire aussi : Transplantation fécale : des tutos de cette pratique dangereuse font un carton sur internet !

Les greffes d’organes sont en chute de près de 16% entre 2019 et 2020

LA VIDEO DU JOUR A NE PAS MANQUER
Publicité

Il y a bien évidemment les morts de la Covid-19, mais également les morts indirectes que la maladie engendre. En effet, la pression hospitalière qu’ont connue une multitude de pays suite au virus a également entraîné un décalage d’interventions chirurgicales lourdes et parfois salvatrices. Selon une étude parue ce 31 août, le nombre de transplantations d’organes a chuté depuis le début de la crise sanitaire. L’étude rapporte en effet que les greffes d’organes réalisées lors de la première vague Covid ont chuté de près de 31% comparé à l’année précédente. Et d’environ 16% sur l’année 2020.

>>> À lire aussi : Cinq ans après sa transplantation, il rencontre enfin celle qui lui a sauvé la vie en lui offrant un rein

Cela correspond à la perte de plus de 48 000 années de vie pour les patients

Publicité

Deux raisons majeures sont mises en cause : le poids considérable de la prise en charge des patients atteints de la Covid-19 pour le système de santé, mais également les risques accrus d’infection pour tous les patients transplantés et donc immunodéprimés.

Abonnez vous à la Newsletter TDN

Cette diminution engendre, grâce à des calculs de modélisation statistiques, à la perte de plus de 48 000 années de vie pour les patients. La transplantation rénale a été la plus affectée, suivie de celle du poumon, du foie puis enfin celle du cœur.

>>> À lire aussi : Pour ne pas mourir, elle reçoit une transplantation de matière fécale ! 

Source : LeFigaro