Cette femme de 29 ans est décédée après avoir voulu se faire « craquer le cou » chez un chiropracteur
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Cette jeune femme n’a jamais pensé qu’une séance de sport allait conduire à sa perte ! Après un faux mouvement à la salle de muscu, elle s’est tournée vers un chiropracteur pour l’aider à se sentir mieux. Malheureusement, son mal n’a fait qu’empirer, provoquant sa mort prématurée !
La jeune femme n’a pas pu rentrer chez elle !
Joanna Kowalczyk est une habitante de Tyneside, dans le nord du Royaume-Uni, qui adore faire du sport. Le 26 septembre 2001, alors qu’elle s’exerçait au gymnase, elle a senti quelque chose d’anormal au niveau de son cou. La jeune femme a d’abord fait un scanner à l’hôpital. Néanmoins, elle a voulu poursuivre son traitement ailleurs !
Dès sa sortie de l’établissement sanitaire, elle a contacté un chiropracteur. Il s’agit d’une médecine alternative où le praticien soulage les douleurs en manipulant les vertèbres. Mais même après trois séances, elle n’a pas pu retrouver son état normal ! Lors du quatrième jour, elle fait face à d’autres problèmes !
D’après cette jeune femme, elle a eu une vision double et des étourdissements. Ses membres droits lui picotaient également, sans aucune raison apparente. Elle se décide enfin à retourner à l’hôpital. Visiblement, la chiropraxie n’a pas pu la guérir. Malheureusement, même les médecins n’ont pas pu la sauver à temps !
En quelques heures, son état de santé s’est gravement détérioré. Elle a finalement succombé à la maladie le 19 octobre 2021. Face à cette mort tragique, les autorités ont tout de suite ouvert une enquête pour voir ce qu’il en est !
Quelle est la cause du décès ?
Naturellement, le coroner de la ville a personnellement étudié le cas de cette jeune femme. D’après lui : « Joanna Kowalczyk est décédée en raison d’une combinaison des conséquences d’un traitement chiropratique suite à un événement médical survenu naturellement, sur fond d’une condition médicale non diagnostiquée ».
L’officier de police judiciaire adjoint déclare que le chiropracteur n’avait aucune idée de la situation réelle. Ce n’est qu’après l’examen de son cadavre que les médecins ont détecté un trouble du tissu conjonctif chez elle. Ainsi, elle était vulnérable aux dissections artérielles. Et ce n’est pas tout !
La jeune femme n’a pas non plus raconté ses antécédents médicaux, notamment des migraines et des problèmes de mobilité des articulations. Ainsi, le craquement au niveau de son cou était loin d’être ordinaire ! D’après les médecins, les couches de son artère carotide ont subi une déchirure significative.
Après le scanner, Kowalczyk aurait dû subir une ponction lombaire. Mais elle a préféré se fier à la chiropraxie ! D’où cette situation déplorable qui a conduit à sa mort. On ne sait pas si ses proches ont intenté une action en justice contre le praticien.
Des mesures drastiques s’imposent !
Le cas de cette jeune femme a mis en péril le métier des autres chiropracteurs. Un représentant du General Chiropractic Council déclare : « Nous attendons des chiropracteurs qu’ils fournissent des soins de qualité, centrés sur le patient, sûrs et efficaces, et conformes aux normes actuelles de bonnes pratiques de soins de santé ».
Cette personne ajoute aussi : « Nous examinerons attentivement les préoccupations importantes soulevées par le coroner dans son rapport et nous lui répondrons directement ». Cette affaire met en lumière l’importance de privilégier le traitement à l’hôpital, au lieu de la médecine alternative.
