4 habitudes de sommeil qui influencent votre âge cérébral !
Nos habitudes quotidiennes façonnent notre santé, souvent sans que nous en ayons pleinement conscience. Certaines pratiques, bien qu’anodines, peuvent d’ailleurs affecter notre cerveau à long terme. Le sommeil joue ici un rôle clé. Une étude récente montre qu’une mauvaise nuit peut accélérer le vieillissement !
Des habitudes modernes qui nuisent au cerveau !
La vie moderne nous pousse à adopter des habitudes pratiques, mais parfois néfastes pour notre santé mentale. Par exemple, faire défiler les réseaux sociaux au lit peut perturber notre sommeil et notre concentration. Boire régulièrement du soda light semble inoffensif. Pourtant, certains édulcorants peuvent influencer notre humeur et mémoire !
Ces habitudes ne provoquent pas de douleur immédiate, donc on les ignore facilement au quotidien. Mais à long terme, elles fatiguent notre cerveau sans qu’on s’en rende compte. Le manque de nutriments, le stress numérique et les rythmes irréguliers perturbent nos fonctions cognitives.
C’est pourquoi on se sent parfois épuisé, distrait ou irritable. Et ce, sans savoir que nos routines en sont la cause ! Il faut rappeler que le cerveau est un organe sensible. Ce que nous consommons et comment nous vivons l’influencent au-delà de ce que nous pensons. Ainsi, il a besoin de repos, de nutriments et de calme pour bien fonctionner.
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Des habitudes comme manger équilibré, se déconnecter le soir ou marcher régulièrement peuvent le protéger. Même de petits changements peuvent d’ailleurs faire une grande différence !
L’importance du sommeil pour la santé !
Le sommeil est vital pour notre cerveau. Certaines de nos habitudes nocturnes ne sont pourtant pas toujours bienveillantes. Se coucher tard, dormir trop peu ou trop longtemps peut dérégler notre horloge biologique. Une étude suédoise a montré que ces rythmes peuvent vieillir notre cerveau plus vite.
Les chercheurs ont analysé les données de 27 000 adultes entre 40 et 70 ans. Ils ont utilisé plus de 1 000 marqueurs d’IRM pour estimer l’âge cérébral. Résultat : une mauvaise qualité de sommeil peut réduire jusqu’à un an au cerveau. Chaque point perdu dans le score de sommeil équivaut à six mois de vieillissement cérébral.
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Afin d’affiner leur analyse, les scientifiques ont analysé cinq de nos habitudes. Il s’agit de la durée du sommeil, des ronflements, de l’insomnie, de la fatigue diurne et chronotype. Par exemple, être un oiseau de nuit ou souffrir d’insomnie augmente le risque de vieillissement cérébral !
Les personnes avec quatre ou cinq habitudes saines avaient un sommeil « protecteur ». Celles avec zéro ou un bon trait avaient un profil « à risque » pour leur cerveau. Ces résultats ne sont pas là pour inquiéter, mais pour nous éclairer. D’autant plus qu’il est bien possible de changer nos habitudes de sommeil !
Les bonnes habitudes pour un meilleur sommeil !
Le cerveau est malléable. C’est-à-dire qu’il réagit positivement aux petits gestes réguliers. Changer ses routines du soir peut donc améliorer la qualité du sommeil en quelques semaines. Parmi les conseils simples : limiter la caféine après 16h et éviter l’alcool en soirée. Ces substances perturbent les cycles naturels du sommeil, même si on ne s’en rend pas compte !
Pensez également à éteindre les écrans au moins 30 minutes avant de dormir. Cela aide à calmer le mental. À noter que la lumière bleue des téléphones et tablettes retarde l’endormissement. L’environnement joue aussi un rôle clé dans nos habitudes nocturnes. Une chambre calme, fraîche et sombre favorise un sommeil profond. En parallèle, vous pouvez instaurer un petit rituel : lecture, respiration lente ou musique douce.
