Une mannequin raconte son parcours à travers un message ultra « body positive » et ça fait du bien !
Dernièrement, la mannequin Emily Bador a fait parler d’elle en postant un message très « body positive ». Message qui a d’ailleurs retenu l’attention de Refinery 29 et qui a été mis en lumière dans un article. Il faut dire que la jeune femme a prêté son visage (et son corps) a bien des marques ! En effet, elle a déjà travaillé pour H&M, Ivy Park pour Topshop ou encore Asos. Dans ce message, la jeune femme y explique être fatiguée de l’industrie de la mode. Et à quel point il est important d’aimer son corps.
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Mais les révélations vont plus loin. En effet, Emily avoue s’être rendue malade pour ce job. Elle explique qu’en juillet 2015, son poids était très bas. Elle faisait une taille 32/34 et son tour de taille était de 58 cm. Et malgré ça, l’image que lui renvoyait le miroir ne lui plaisait pas. Si bien qu’elle a commencé à éviter de croiser son reflet. Et que des crises de panique se sont emparées d’elle. Emily déclare également qu’elle a toujours eu cette crainte de ne pas avoir de boulot si elle n’était pas assez mince. Elle pensait d’ailleurs que lorsqu’une agence ne la rappelait pas, c’était parce qu’elle était trop grosse…
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Vous l’avez compris, cette mauvaise image d’elle-même l’a hantée, si tant est qu’elle a du s’arrêter de travailler. Cela ne faisait pourtant qu’un an qu’elle travaillait comme mannequin. Mais la fatigue, les crises d’angoisse et le régime drastique ne faisaient pas bon ménage. Cela dit, ne vous y trompez pas, la jeune femme fait actuellement un autre travail. Très dur également. Apprendre à s’aimer et à s’accepter tel qu’elle est. Accepter qu’on est différents des autres, et qu’être différent, c’est bien aussi. En écho à ce message positif, elle poste également des photos d’elle où son corps n’est pas forcément mis en avant comme il le serait sur une affiche de pub. Simplement, au naturel. Et bon sang, ça fait du bien. Voilà quoi qu’il en soit un message fort sur l’acceptation de soi que beaucoup de filles feraient bien de lire. Arriverons-nous vraiment à nous aimer un jour ?
