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Les services de réanimation s’inquiètent de la menace d’une deuxième vague ! (VIDEO)

Publié par Lucie B le 05 Oct 2020 à 16:45
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Face au coronavirus, les services de réanimation continuent de lutter, avec la menace d’une deuxième vague de plus en plus présente.

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Immersion dans un service de réanimation

Au service de réanimation de l’hôpital de Montfermeil, en Seine-Saint-Denis, la menace d’une seconde vague reste dans l’esprit de chacun. Pourtant, ce service n’est pas en tension d’après la direction de l’hôpital. En moyenne, ce sont quatre lits qui sont occupés par des patients atteints du Covid-19 sur les dix dont dispose le service. Cela concernait l’entièreté du service lors de la première vague du Covid, l’hôpital ayant dû faire appel à du renfort.

Parmi les patients qui occupent les lits de réanimation, un homme de 44 ans, entubé depuis 3 jours, dont la mère âgée de 74 ans veille sur lui depuis le couloir. Dans la chambre d’à côté, un homme d’une soixantaine d’années est hospitalisé depuis 3 semaines.

Du répit mais pas de repos

Le taux d’occupation des lits permet à l’hôpital d’accueillir d’autres patients qui ne souffrent pas du Covid-19. L’équipe médicale s’affaire auprès d’un homme, victime d’un AVC. Un patient qu’elle ne pouvait plus accueillir en plein pic du coronavirus. De quoi redonner de l’énergie à l’équipe médicale. « Moi, je vais bien, je pense qu’on va tous bien. Le fait que l’activité soit redescendue un petit peu ça a fait du bien à tout le monde. On croise les doigts pour que ça n’aille pas au-delà de ce qu’on vit aujourd’hui » confie Marina, une infirmière.

Une crainte de la deuxième vague que partage Dany Tolédans, c’est elle qui dirige le service de réanimation de l’hôpital. L’un des problèmes rencontrés par les soignants, selon elle, c’est d’arriver à se changer les idées surtout avec les restrictions mises en place par le gouvernement. « Si on nous referme tout dehors, ça va être moralement difficile. Il va falloir qu’on arrive à organiser les choses pour qu’on continue à vivre. Parce que si ça continue encore un an ou 18 mois, on va tous finir en psychiatrie et pas malade du covid. » 

Source : BFM TV 

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