Cette tatoueuse de 9 ans a déjà 7 ans de métier derrière elle !
Maya Lu savait à peine tenir sur ses deux pieds, quand elle a tenu pour la première fois un pistolet à tatouage dans les mains. À deux ans, cette jeune Allemande a été initiée à l’art du tatouage. Aujourd’hui âgée de neuf ans, elle travaille dans un salon de tatouage et possède sa chaine YouTube. Regardez la vidéo pour voir la fillette en action et le résultat de son travail.
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Elle a tenu un pistolet à tatouage dans les mains dès l’âge de 2 ans
Au fil des ans, la jeune Maya a amélioré sa technique. Il faut dire qu’à 9 ans, elle a déjà 7 ans de métier derrière elle. C’est son « père », Lily Lu, qui s’identifie comme une personne non-binaire, qui lui a transmis la passion du tatouage. Il est le propriétaire de Psyland 25, un salon de tatouage situé à Tengen, en Allemagne. « Moi et quelques amis ont lui a montré quelques techniques et c’était fou de voir les progrès qu’elle a faits avec la machine », raconte son père. « Elle a progressé même sur papier. Au fil des années, vous pouvez voir qu’elle a commencé à peindre des motifs ».
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Son père considère que c’est un bon bagage pour commencer dans la vie
Au départ, Maya avait besoin de l’aide de son père mais rapidement elle a appris comment gérer une séance du début jusqu’à la fin. « C’est tellement fou de la voir assise là et de la voir faire toutes les procédures par elle-même. » Le papa est très fier et il l’assure : « En plus, les tatouages sont vraiment très beaux une fois qu’ils sont cicatrisés ». Nous voilà rassurés, car le but au final n’est-il pas le résultat ? Preuve que son talent est reconnu, elle a déjà tatoué plusieurs tatoueurs professionnels qui voulaient une de ses œuvres sur la peau. Son père indique qu’il ne veut absolument pas lui mettre la pression et qu’elle a encore tout le temps pour décider si elle voudra en faire son métier plus tard. « En fait, je m’en fous de ce qu’elle fera plus tard, je n’ai jamais ressenti le besoin de la faire marcher dans mes pas. Mais c’est vrai, je pense qu’avoir la compétence de faire des tatouages, c’est toujours un bon filet de secours au cas où quelque chose ne va pas ».
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Crédits : Jam Press