Alerte IST : Une maladie « résistante aux antibiotiques » fait rage dans ces lieux de vacances
Les vacances d’été approchent à grands pas, on a tous hâte de faire une pause et de séjourner dans un lieu paradisiaque. Sauf qu’il existe des endroits où les IST ne blaguent pas. La nouvelle variante résiste farouchement aux antibiotiques, ce qui va certainement ruiner l’escapade.
L’IST en question !
La sécurité sanitaire britannique, l’UKHSA, vient d’émettre un avertissement inquiétant. Cette institution spécialisée en surveillance des maladies infectieuses a remarqué une hausse notable d’une IST très dangereuse. Surnommée la « super gonorrhée », elle constitue aujourd’hui une des pires menaces sanitaires !
Mais pourquoi une telle recrudescence de cette insidieuse maladie ? Tout a commencé lors de la pandémie, alors que les gens consommaient fréquemment de l’azithromycine. Cet antibiotique destiné à soigner les infections respiratoires aurait favorisé la résistance de la super gonorrhée ! Aujourd’hui, on fait face aux répercussions de cette pratique.
D’après l’UKHSA : « Lorsque vous profitez de vacances à l’étranger, pratiquer des rapports sexuels protégés est tout aussi important que de souscrire une assurance voyage ou d’appliquer un écran solaire. Les IST peuvent présenter un risque grave pour la santé, il est donc nécessaire d’utiliser des préservatifs de manière systématique et correcte ».
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Les destinations les plus à risque !
Lors de leurs vacances, les français séjournent non loin du pays afin de minimiser leurs dépenses. La Grèce, l’Italie et l’Espagne figurent parmi les destinations qu’ils privilégient. Il faut dire que la baisse du pouvoir d’achat met à mal leur budget pour leurs escapades. Toutefois, certains peuvent se permettre de partir loin !
Des pays comme le Cambodge, le Vietnam, la Chine et la Thaïlande proposent de véritables petits paradis pour ceux qui veulent relaxer. Mais c’est aussi là que cette IST est la plus présente ! Tout le monde le sait, les vacances, c’est aussi le moment idéal pour s’autoriser de petites aventures intimes.
Le problème, c’est que le système de santé dans ces endroits n’est pas forcément le plus sûr. Au contraire, les vacanciers pourraient se retrouver dans de beaux draps s’ils contractent cette IST qui a muté ! Voilà pourquoi l’UKHSA tire la sonnette d’alarme quant aux précautions à prendre.
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Bien sûr, le meilleur moyen de se protéger consiste à utiliser des préservatifs lors des séances intimes. D’autant plus que l’IST n’est plus aussi facile à traiter qu’avant ! De retour au pays, il est nécessaire de se faire tester. Les symptômes de la maladie peuvent prendre des semaines, voire des mois avant d’apparaître.
Les conséquences de cette IST !
Chez les hommes, l’apparition de douleur ou de gonflement des testicules, les écoulements jaunes ou verts, et les brûlures indiquent la présence de cette IST. Les femmes, quant à elles, peuvent avoir des douleurs pelviennes et abdominales, des pertes vaginales inhabituelles et des saignements entre les règles.
Si la maladie n’est pas soignée à temps, elle pourrait provoquer l’infertilité chez les deux genres. L’infection pourrait même se propager dans le sang et dans les articulations. À cela s’ajoute une inflammation de l’épididyme chez les hommes. Pour les femmes, une maladie inflammatoire pelvienne pourrait survenir !
Cette IST est particulièrement dangereuse si une femme enceinte la contracte. Elle risque de faire une fausse couche, une grossesse extra-utérine, ou un accouchement prématuré. Mais la plupart des conséquences surviennent surtout chez le nouveau-né, qui pourrait contracter des infections oculaires assez graves.
