L’incroyable histoire du trésor caché par deux amants maudits
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Ce jour-là, dans les Côtes d’Armor, un randonneur tombe sur un coffre enterré sous une souche d’arbre. Et lorsqu’il l’ouvre, il tombe sur des liasses de billets et une lettre d’amour datant de 1942 qui relate une histoire visiblement partagée par des amants maudits.
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Amants maudits : une incroyable découverte dans les Côtes d’Armor
En 2018, ce randonneur décide de faire une petite balade en forêt. Mais ce jour-là, il tombe sur un coffre enfoui sous une souche d’arbre. Et rapidement, quand il l’ouvre, il se rend compte que le butin était partagé par des amants maudits qui l’ont caché ici. Entre une lettre d’amour et des liasses de billets, c’est un véritable mystère qu’il confie au maire de la commune de Calanhel. « Tout a commencé le 17 mai 2018. C’est sous une souche d’arbre déraciné par la tempête qu’un randonneur a trouvé, à demi déterré, un étrange coffret. »
« Il l’a rapporté en mairie. Nous avons réussi à l’ouvrir et y avons découvert des liasses de billets (d’anciens francs) et une lettre. » Celle-là serait apparemment écrite par un dénommé Jean qui écrit à l’amour de sa vie, Berc’hed. Encore plus mystérieux, il continue en évoquant « de tragiques circonstances l’obligent à la quitter encore. » D’ailleurs, il le regrette et s’excuse de ne pouvoir rester à ses côtés. Mais ce qu’il y a de plus étonnant encore, c’est qu’aucun des registres municipaux ne fait trace du couple.
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Une enquête en cours
Face à cette découverte aussi incroyable que mystérieuse, Cyril Jobic, le maire de la commune, lance immédiatement un appel pour retrouver l’existence de ces amants maudits. En retour, il reçoit un certain nombre de lettres anonymes. Dans certaines, Jean est décrit comme un meurtrier. Et dans une autre, c’est carrément la nièce présumée de Berc’hed qui livre un extrait du journal intime.
Apparemment, celui-ci commence en « 1941 et finit en 1942. » Quant à la relation qu’elle entretient avec Jean, « Berc’hed y avoue qu’elle ne s’est jamais remise du départ de Jean, qui, comme un certain Henri, vole les gens. Elle confie également avoir donné naissance à un fils, qu’elle aurait malgré tout appelé Jean, avant de mourir de chagrin. » Pour faire la lumière sur cette incroyable histoire, un service d’État spécialisé dans le recensement des affaires fiduciaires a donc été mandaté.
Source : Planet.fr
