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« Januhairy » : après le mois sans alcool, cette nouvelle tendance séduit de plus en plus

Publié par Elodie GD le 09 Jan 2024 à 7:39
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Le mois de janvier est le mois de tous les possibles. Non seulement il marque l’élaboration des traditionnelles résolutions, mais permet aussi à certains de se challenger. Ainsi, après le Dry January, qui s’est démocratisé en France depuis quelques années déjà, voici le « januhairy ». Un défi d’un autre genre, qui pourrait toutefois séduire la gent féminine.

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Le ‘januhairy » en vogue depuis plusieurs années

Dry January, Damp January et maintenant Januhairy. Les nouveaux challenges et autres résolutions inondent les réseaux sociaux en ce début d’année 2024. Un phénomène de plus en plus courant ces dernières années.

Ainsi, en plus de ceux qui décident d’arrêter momentanément de consommer de l’alcool ou encore de ceux qui réduisent leur consommation, arrivent celles qui décident de laisser rasoirs et bandes de cire au placard. Une initiative récente, qui a pour but de pousser les femmes à se réapproprier leurs corps.

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LA VIDEO DU JOUR A NE PAS MANQUER

Les connaisseurs l’auront sans doute remarqué, « Januhairy » est la contraction de « january », qui signifie janvier, et de « hairy », qui signifie poilu. Un janvier poilu, que Laura, étudiante anglaise en arts dramatiques, a eu l’idée d’initier il y a quelque temps.

Januhairy : quelle est cette nouvelle tendance ?

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« Apprendre à mieux se connaître »

En 2018, la jeune femme raconte qu’elle s’est vue obligée de se laisser pousser les poils dans le cadre d’une performance artistique. Au départ peu à l’aise avec l’idée, elle s’est peu à peu surprise à apprécier ses poils. Mieux encore : elle s’est sentie libérée d’un poids. Fini les épilations régulières et au placard les rasoirs.

Forte de son expérience, Laura décide de la partager sur les réseaux sociaux. Son objectif, montrer aux femmes que les poils ne sont pas nos ennemis, et qu’il est temps de se défaire des carcans de la société. Ainsi, l’année suivante, elle lance le « januhairy ».

Une initiative suivie par des centaines de personnes, elles aussi, prêtes à se défaire des dictats du patriarcat. « L’idée n’est pas de lancer une campagne de haine contre celles et ceux qui ne comprennent pas qu’avoir des poils est tout à fait normal, mais plutôt un projet pour apprendre à mieux se connaître soi-même et les autres » , explique la jeune femme sur Instagram.

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Aujourd’hui, cela fait maintenant cinq ans que Laura voit toujours plus d’adeptes rejoindre le mouvement. Et certaines se laissent prendre au jeu, au point d’abandonner rasoirs, bandes de cire et épilateurs pour de bon.

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