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Elle critique sa banque sur les réseaux sociaux : la sentence est irrévocable !

Publié par Alexis ANOVAS le 21 Mai 2021 à 11:33

Julie Goislard est une habitante des Hauts-de-Seine. Elle est cliente de la Société générale, sauf qu’entre elle et sa banque, ce n’est pas du tout une belle histoire d’amour.

En effet, un beau matin lorsqu’elle s’est levée, elle a eu la surprise de voir tous ses comptes fermés. La raison ? Elle n’arrêtait pas de critiquer sa banque, comme le montre la vidéo ci-dessous :

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Sa banque ferme tous ses comptes car elle n’arrêtait pas de les critiquer sur les réseaux sociaux

Le 28 décembre 2019, Julie Goislard, une libraire située à Clichy-la-Garenne, dans les Hauts-de-Seine, a eu la mauvaise surprise de voir tous ses comptes fermer. Elle a raconté sa mésaventure dans un long message posté sur son profil Facebook. Comme l’a relayé le Parisien, si sa banque a pris une décision radicale, c’est parce qu’elle n’arrêtait pas de critiquer la Société générale sur les réseaux sociaux. « Au fil des années, les services se sont amenuisés. Je payais pour tout et rien. Pontais les défaillances. Les erreurs pas corrigées qui me coûtaient. Peinais à avoir un interlocuteur stable et réactif. Comme ce jour, où j’ai dû appeler 36 fois l’agence sur une journée avant que quelqu’un de l’agence ne me réponde » explique la jeune libraire.

Le directeur de sa banque n’a pas du tout apprécié que sa cliente parle aussi mal de la Société générale. Il a donc demandé rendez-vous avec Julie Goislard, mais l’entretien n’a pas du tout arrangé les choses. « Trois semaines après, dans son bureau, l’actuel directeur, lors d’un entretien agressif et ubuesque, nous expliquait que la banque nous mettait dehors, à cause de ces tweets. Pas de raisons bancaires » se remémore-t-elle. très vite, elle a reçu des lettres recommandées informants que ses comptes professionnels, et personnelles, étaient fermés sous 60 jours. Le Parisien a voulu s’entretenir avec la banque, qui a décliné tout échange, stipulant « la confidentialité » et le « secret bancaire » .

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