Découvrez Frère Moustache, la nouvelle mascotte de ce monastère en Bolivie
Les recrues pour le monastère se font rares, mais celle-ci ne s’est pas fait prier pour rentrer dans les ordres. Ce petit chien a été secouru par des moines boliviens et endosse avec joie et fierté sa fonction de frère franciscain.
Un chien dans un monastère
Saint-François d’Assise était un religieux qui prenait soin des animaux et de la nature en général. Quoi de plus naturel, alors, pour des moines franciscains d’adopter un petit chien et d’en faire leur mascotte ? C’est ce qu’ont décidé de faire les frères du monastère Cochabamba en Bolivie. Il y a quelques semaines, ils ont adopté un petit schnauzer qui avait tout d’abord été recueilli par l’association Proyecto Narices Frias. La boule de poils nommé Carmelo a reçu un joli surnom : Frère Moustache.
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Frère Moustache, un moine à part entière
Après avoir vécu dans la rue, Frère Moustache apprécie la vie en monastère comme on peut le voir sur les photos postées par les moines. Il passe sa vie à boire, manger mais aussi à prêcher la bonne parole aux poissons. Il a même droit à sa propre robe et, étrangement, elle lui va extrêmement bien ! Tous les moines adorent leur nouveau frère et sont absolument ravis d’avoir un compagnon à quatre pattes qui les accompagne de partout. Sur les photos publiées sur Facebook par le monastère de Cochabamba on voit le petit chien courir dans les jardins mais aussi tremper ses moustaches dans un bassin. Peut-être qu’il parle vraiment aux poissons.
Une adorable mascotte pour une bonne cause
En tant que bonne mascotte, Frère Moustache aide les moines à faire la promotion d’une cause. Si le monastère le pouvait, ils adopteraient plus de chiens pour ne pas les laisser vivre dans la rue. En l’adoptant, ils veulent convaincre les autres membres de l’Eglise de faire de même. « Si toutes les églises de notre pays pouvaient adopter ne serait-ce qu’un chien comme Frère Moustache et en prendre soin, nous sommes certains que les paroissiens suivraient cet excellent exemple » déclare un des frères. Et, après tout, qui n’aime pas les chiens ?