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Hugo Legname : du rêve brisé à la réussite immobilière avec l’UMDB

Publié par Gabrielle Nourry le 23 Oct 2025 à 14:34
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Ça aurait pu être l’histoire d’un prodige, des terrains roubaisiens aux grands stades internationaux… mais la vie en a fait autrement. À 17 ans, Hugo Legname vit un rêve éveillé : un contrat pro dans un club belge, des années de sport-études derrière lui, et l’avenir du football qui s’ouvre. Mais deux blessures coup sur coup, ligaments croisés puis ischio, le stoppent net.

« J’ai passé deux saisons blanches. À un moment, tu comprends que le train est passé. Et là, tu te dis : qu’est-ce que je fais de ma vie maintenant ? », se souvient Hugo.

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Son père ne lui laisse pas le temps de s’apitoyer : il l’emmène sur les chantiers.

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« Réveil à 5h, chargement des camions, gravats, peinture, carrelage… Il voulait que je comprenne ce qu’est la vraie vie. »

Son rêve de carrière internationale et la vie de luxe qui va avec n’est plus qu’un lointain souvenir. De ce coup d’arrêt naît une mentalité : travailler plus que les autres pour construire un avenir solide, même à partir de zéro.

Premiers pas dans l’immobilier : curiosité et premiers gains

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Du chantier à la maîtrise d’œuvre, Hugo enchaîne les expériences. Il gère des devis, des suivis de travaux, côtoie des investisseurs… et écoute leurs conversations.

« Un jour, j’entends : « Sur ce dossier, je vais prendre 50 000… sur l’autre, 200 000. » Ça m’a intrigué. Je leur ai demandé de m’expliquer. »

Quelques mois plus tard, il achète sa première maison à retaper. Soirées, week-ends, vacances, tout y passe. Il se donne sans compter. À la revente : 50 000 € de plus-value.

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« J’ai mis deux ans de salaire dans ma poche avec une seule opération. Ça a été un déclic monumental. »

Immeubles de rapport, colocation, achat-revente : Hugo apprend vite, prend des risques et réinvestit tout. À défaut de richesse pour réussir dans l’immobilier, il se construit un solide réseau.

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De l’entrepreneuriat à l’UMDB : une rencontre décisive

Mais très vite, comme beaucoup d’investisseurs, il se retrouve bloqué par les banques. Alors il décide de s’associer avec son ami, Thibault. Ensemble, ils montent une société qui prodigue des conseils et gère travaux et ameublement pour les investisseurs. Une activité florissante, mais qui atteint vite ses limites. En 2020, Hugo rencontre Nassim BOUKROUH, lui aussi un entrepreneur roubaisien qui a fait fortune dans l’immobilier.

« Je tombe sur un gars qui avait déjà 12 ans d’avance sur moi. Friches industrielles, entrepôts… Nassim m’a ouvert les yeux sur une autre dimension de l’immobilier. »

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De cette rencontre naît l’Union des Marchands de Biens (UMDB) : un modèle unique qui finance à 100 % les opérations de ses membres, sans apport personnel ni crédit bancaire.

Aujourd’hui, plus de 200 opérations ont été réalisées sur plus de 200 000 m² : des entrepôts, des friches industrielles, des immeubles, souvent transformés et revendus avec des marges à 6 ou 7 chiffres.

« On a cassé les codes. Des gens ordinaires peuvent aujourd’hui réaliser des opérations extraordinaires », résume Hugo.

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Des profils très variés ont rejoint l’aventure : cadres, artisans, entrepreneurs, investisseurs locatifs… tous attirés par un modèle qui mise sur la vitesse, l’efficacité et l’absence de dettes bancaires.

UMDB, arnaque ou révolution immobilière ?

Face au succès grandissant d’un modèle innovant, la question revient souvent : l’UMDB est-elle une arnaque ?

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Pour Hugo Legname, la réponse est simple : les chiffres parlent d’eux-mêmes. 

« On veut se différencier des « infopreneurs », parce qu’on ne vend pas de formations et on ne fait pas de promesses en l’air. Notre modèle est axé sur l’action et le terrain, et la réalisation d’opérations réelles et traçables », répond Hugo.

Les marges ? Elles font parfois tourner la tête (entre 30 % et… 200 % !), mais Hugo assume : « Les marges qu’on annonce sont celles qu’on réalise vraiment. C’est ça qui dérange certains. La transparence est totale, mais il faut comprendre que derrière chaque pépite, il y a du travail et un nombre incalculable de visites. »

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Hugo Legname et Nassim Boukrouh répondent longuement à cette accusation sur leur site UMDB, arnaque ou opportunité ?

Adhésion payante mais financement intégral 

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Mais l’ex footballeur reconnaît néanmoins que l’UMDB n’est pas pour tout le monde. 

« Si quelqu’un pense devenir riche sans effort, il va être déçu. C’est une culture qui n’est pas la nôtre. Nous, on est des gars de terrain, avec discipline et constance, parce ça ne tombe pas du ciel. Une opération à plusieurs millions, ça demande en moyenne 70 visites pour avant de dénicher une seule bonne affaire. »

Quant au financement des opérations, il est intégralement pris en charge par le club. L’adhésion payante, elle, couvre le fonctionnement : une équipe d’avocats, notaires, fiscalistes, marchands, communicants… Mais cette dernière est remboursée dès la première opération, insiste le jeune roubaisien. « Nassim et moi ne sommes rémunérés que si l’opération réussit. On a aligné nos intérêts avec ceux des membres. C’est ça, la vraie différence : un modèle gagnant-gagnant. »

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Résultat : l’UMDB attire de plus en plus d’investisseurs convaincus qu’on peut faire de l’immobilier autrement, avec des méthodes claires et une exécution rapide.

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