Il pense s’être fait piquer par une guêpe… quelques jours plus tard, sa jambe commence à pourrir
Nos confrères du magazine EntreNous.fr, ont publié le témoignage de Robert Saniola-Burlton, 16 ans, a de quoi donner des frissons.
Ce qui ressemblait à une simple piqûre repérée en rentrant d’une promenade au Kent s’est transformé en véritable cauchemar médical. Le jeune Britannique a finalement découvert qu’il avait été mordu par une veuve des villes, l’araignée la plus dangereuse du pays.
Une promenade qui a viré au cauchemar
Robert a eu la peur de sa vie. Tout a commencé le 3 juillet 2025, alors qu’il fouillait les buissons d’un parc de Sittingbourne pour retrouver son chat disparu, Rusty.
Rien d’héroïque à première vue, sauf qu’en rentrant, il découvre une grosse bosse sur son genou droit. Il confie au Daily Mail : « Je n’ai pas senti la morsure, j’ai juste vu la bosse en rentrant chez moi. Ça m’a un peu choqué, j’ai pensé que c’était une piqûre de guêpe… ».
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Sauf que la bosse gonfle, forme une cloque et devient franchement douloureuse. Le garçon décrit même la sensation comme si sa « jambe était en feu ».
Très vite, marcher devient presque impossible : « J’avais du mal à marcher. On aurait dit un âne », plaisante-t-il, même si l’inquiétude commence sérieusement à grimper.
Le vrai choc arrive lorsque la cloque éclate et que sa mère, Virva Saniola, remarque que la peau vire au noir. Là, plus question d’attendre : direction le médecin.
Une nécrose importante
Toujours selon l’article, le médecin identifie immédiatement des tissus nécrosés et les retire avec précaution avant de prescrire une cure d’antibiotiques pour éviter que l’infection ne se propage.
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Le résultat n’a rien d’esthétique : « J’ai une cicatrice qui n’est pas belle du tout », reconnaît Robert, tandis que sa mère précise que « sa cicatrice fait la taille d’une pièce de 1£ et ne partira jamais« .
Le diagnostic tombe : il s’agit d’une morsure de veuve des villes, une araignée qui, même si elle n’est pas mortelle, peut provoquer de sévères réactions.
Le jeune Britannique avoue n’avoir jamais imaginé un tel danger dans son propre pays : « Je ne pensais pas que les morsures d’araignées étaient si communes au Royaume-Uni. Je suis beaucoup plus soucieux de leur présence, maintenant ».
Aujourd’hui, Robert s’en sort avec une cicatrice et une bonne frayeur, mais son histoire rappelle que même une petite morsure apparemment banale peut tourner en urgence médicale s’il s’agit d’une espèce toxique comme celle-ci.