Delphine Jubillar obligée de faire une fellation à son mari ? Ce SMS glaçant dévoilé par son amant
Le procès de Cédric Jubillar bat son plein au tribunal d’Albi. L’homme soupçonné d’avoir tué sa femme, Delphine Jubillar, est entendu jusqu’au 17 octobre 2025.
Et ce lundi 6 octobre 2025, c’est le témoignage de l’amant qui est venu mettre de l’huile sur le feu. Un SMS révèle que Delphine Jubillar aurait pu être forcée à faire une fellation à son mari.
Cédric Jubillar, coupable ou pas ?
Le neuvième jour du procès de Cédric Jubillar, ce lundi 6 octobre 2025, a une nouvelle fois plongé la cour d’assises du Tarn dans les zones d’ombre entourant la disparition de Delphine Jubillar, infirmière à Cagnac-les-Mines dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020.
Ce jour-là, un témoin très attendu a pris la parole : Jean M., l’amant de Delphine. Longtemps suspecté, il a finalement été écarté de la liste des suspects, mais ses révélations ont clairement relancé les débats.
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Il a évoqué leur relation, leurs projets communs et les tensions du couple Jubillar. « Notre cahier des charges, c’était la proximité des écoles », a-t-il raconté, confirmant que Delphine prévoyait de refaire sa vie.
Il a aussi confié avoir été touché par les lettres d’amour envoyées par Cédric pour tenter de reconquérir sa femme : « Il s’est mis plus bas que terre pour essayer de la récupérer ». Ensemble, Jean et Delphine envisageaient de « vendre la maison, solder le crédit, repartir de zéro ».
L’amant a parlé d’une femme passionnée par son travail et fière de ses enfants, mais lassée d’un mari qu’elle jugeait « pas sortable ». « Pas un bleu, rien », a-t-il précisé, pour nier toute violence physique, tout en admettant avoir « une intime conviction » sur la culpabilité de Cédric Jubillar.
Des détails intimes dévoilés
Mais c’est un autre passage de l’audience qui a glacé la salle. L’amant de Delphine a raconté certains détails très intimes de leur relation, révélant que la jeune femme avait encore eu une relation sexuelle avec son mari « le jour de l’anniversaire de Monsieur Jubillar ».
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Dans des SMS dévoilés par Paris Match, Delphine Jubillar confiait à Jean : « Je ne veux pas te tromper, ni passer à la casserole », à quoi il aurait répondu : « Si ce n’est qu’une fellation ».
Des propos crus, mais essentiels pour comprendre la complexité de la situation du couple à ce moment-là. Et comme si cela ne suffisait pas, un coup de théâtre est venu secouer le tribunal le lundi 6 octobre : les avocats de Cédric ont affirmé que le téléphone de Jean M. avait borné près du domicile des Jubillar la nuit de la disparition.
« Je suis ravi de voir que les avocats de Cédric sont experts en téléphonie », a-t-il ironisé, niant s’être rendu à Cagnac-les-Mines.
D’après 20 Minutes, la défense a même insinué que cet élément avait été « volontairement retiré du dossier par les gendarmes », avant que l’audience ne soit suspendue dans une tension palpable.