Une enseignante devenue « sugar baby » dévoile le « coût émotionnel et psychologique » de son nouveau travail
Connie Keast est une sugar baby et elle l’assume fièrement. Cependant, cet emploi soulève encore énormément d’incompréhension sociale. Comment cette ancienne enseignante a basculé dans cette vie ? Comment vit-elle le jugement des autres ? Par ailleurs, comment gère-t-elle les relations avec ses sugar daddies ? Découvrez tout dans cet article !
Une enseignante spéciale pour hommes âgés !
Au Royaume-Uni, les rapports sont formels. Les Britanniques se penchent de plus en plus vers les sugar dating. Ces rencontres ont enregistré une hausse de 23 % en 2025. Il s’agit de rendez-vous mettant en rapport un homme riche et âgé et une jeune femme. Cette dernière, comme Connie, accorde des faveurs intimes à son client en échange d’argent !
En termes moins élégants, l’ex enseignante est devenue une prostituée de luxe. Avant, ce métier était l’apanage de jeunes étudiants. Aujourd’hui, les femmes de 30 à 40 ans exercent plus souvent ce job pour joindre les deux bouts.
Une experte en relations amoureuses appelée Giovanna Smith explique : « Le sugar dating est devenu plus populaire ces dernières années. Les pressions financières, la crise du coût de la vie et la promesse de luxe ou de stabilité peuvent rendre cette solution tentante ». Il est vrai que le salaire d’enseignante ne permet pas de s’offrir grand-chose !
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Une mère de famille bien coquine !
Connie, pour sa part, a d’abord été mariée à un homme plus âgé qu’elle de 15 ans. Elle a ensuite divorcé, obtenu un diplôme et a travaillé comme assistante comptable puis enseignante. Là, elle en a eu marre de tirer le diable par la queue et s’est inscrite sur OnlyFans en 2020.
En 2021, elle se retrouve de nouveau célibataire, mais l’argent et les hommes plus âgés l’attirent toujours. La solution semblait limpide : devenir une sugar baby. Son premier rendez-vous, sous le pseudonyme d’Emily-Rose, est un franc succès. Cela lui a fait gagner environ 344 €. La jeune femme a pris goût à la chose et a rencontré 7 messieurs en un mois.
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À un certain moment, Connie démissionne de son poste d’enseignante et devient une sugar baby à temps plein. Elle affiche un tarif bien clair : « 250£ pour une soirée et 300 à 350£ pour une nuit. L’heure coûte 200£ ». Elle avoue : « Mon objectif est de gagner 3 000 £ par mois ». À l’heure actuelle, elle compte 65 clients, dont la majorité est marié !
Une enseignante riche et heureuse !
Connie admet bien volontiers que son métier a aussi des mauvais côtés. « J’ai des relations sexuelles avec des hommes que je trouve peu attirants », admet-elle. « Je bois quelques verres, ce qui facilite les choses. Parfois, j’aime ça, parfois non. Certains hommes sont bons au lit, d’autres non ».
Elle a également eu affaire à des clients qui devenaient trop insistants et qui l’ont menacé. D’autres dégoulinent de générosité et souhaitent l’arracher à ce style de vie. Cependant, l’ex enseignante n’a pas encore trouvé celui avec qui elle pourrait se poser. L’un d’eux vient de l’emmener pour une escapade de rêve à Barcelone !
Smith aborde également l’envers du décor : « Si le gain financier est tangible, le coût émotionnel et psychologique est plus difficile à mesurer ». Pour Connie, les dommages émotionnels concernent ses parents. Sa mère est en plein désarroi, tandis que son père reste dans le déni. Par contre, la fille de l’ancienne enseignante ne voit aucun inconvénient quant au travail de sa maman !
