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RATP : dr*guée et attouchée par l’un de ses collègues, une employée risque le licenciement

Publié par Quentin VIALLE le 13 Mai 2025 à 18:27

Islem, agente de la RATP, a été dr*guée et attouchée par l’un de ses collègues de travail. Elle est aujourd’hui menacée de licenciement. Tous les détails ci-dessous.

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RATP : dr*guée et attouchée par l'un de ses collègues, une employée risque le licenciement
Twitter @berrahalAhmed93

Une agente de la RATP dr*guée sur son lieu de travail par un collègue

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Le 9 février dernier, Islem, agente de station à la RATP, a vécu un véritable calvaire sur son lieu de travail. Jeune maman d’un bébé de trois mois et demi, cette dernière avait commencé son service à 5 heures du matin, heure à partir de laquelle elle devait s’occuper des voyageurs sur la ligne 14, alors fermée pour travaux.

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« J’arrive au guichet, je bois un café avec mon collègue Guillaume* qui me propose d’aller fumer. Je pense aller à l’extérieur mais il me dit qu’on peut aller au local technique », raconte la jeune femme à nos confrères de Paris Match. « Il me propose de prendre un morceau de brownie qu’il a fait. Je mange juste un croc », poursuit-elle. Elle ne le savait pas : mais ce gâteau contenait en réalité une petite quantité de cannabis.

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Quelques minutes après avoir mangé ce fameux brownie, Islem commence à sentir son état se dégrader. « J’étais agenouillée devant la poubelle, à vomir » explique-t-elle. Son collègue aurait alors profité de la situation pour « se frotter à ses fesses » et l’agresser sexu*llement.

Sous le choc, la jeune femme décide d’alerter sa hiérarchie le lendemain dans l’espoir d’être protégée. Mais alors que sa responsable lui assure qu’elle ne travaillera plus avec son agresseur, Islem se retrouve en poste avec lui quelques jours plus tard. Elle tente de prévenir une maîtrise, mais celle-ci lui rétorque que ses « problèmes sexuels et privés » n’ont pas leur place dans le cadre professionnel. Incapable de reprendre son service, elle se met alors en arrêt de travail.

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Quelques semaines plus tard, l’impensable se produit : elle reçoit une convocation à un entretien préalable à révocation, la RATP lui reprochant d’avoir abandonné son poste après les faits. Une situation terrible pour la mère de famille, qui aurait par ailleurs décidé de porter plainte.

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