« J’ai tué ma femme » : ce coup de fil sordide qui a glacé le sang des gendarmes
Ce vendredi 3 janvier, un centre hospitalier psychiatrique du Lot-et-Garonne reçoit un coup de fil choc ! À l’autre bout du fil, un homme déclare : « J’ai tué ma femme hier soir. » Immédiatement, ce sont 25 gendarmes qui sont mobilisés pendant trois heures à la recherche du suspect. Mais en réalité, il s’agit d’un canular sordide inventé par deux adolescents de 13 ans !
>> À lire aussi : Une adolescente se fait confisquer son smartphone par ses parents : elle décide de les poignarder
Un canular sordide
Ce 3 janvier, c’est le choc du côté d’un centre hospitalier psychiatrique de Lot-et-Garonne. En effet, à l’autre bout du fil, le personnel entend un homme qui déclare : « J’ai tué ma femme hier soir. » Pire encore, il semblerait que sa voix grave tente de couvrir les bruits sourds de coups portés à sa victime. L’individu se présente comme étant fou et habitant du côté de la ville de Foulayronnes. L’appel n’aura duré que 15 minutes.
Mais immédiatement, c’est le branle-bas de combat du côté des autorités.En effet, en seulement quelques minutes, ce sont 25 gendarmes qui sont déployés pour commencer une course contre la montre. Très vite, ils se retrouvent dans la ville citée par le suspect mais piétinent et ne parviennent pas à localiser le lieu du crime. Et évidemment puisqu’il s’agit d’un canular sordide inventé par deux adolescents de 13 ans !
>> À lire aussi : La fille d’un célèbre chanteur accusée de maltraitance animale
Deux adolescents impliqués
Alors que du côté des autorités, c’est le branle-bas de combat pour retrouver un homme qui prétend avoir tué sa femme, de l’autre, ce sont deux adolescents de 13 ans qui ont inventé un canular sordide. Du coup, deux heures plus tard, le numéro finit par être identifié par la police et les forces de l’ordre débarquent chez un couple, en train de passer tranquillement leur soirée.
Mais rapidement, les gendarmes découvrent qu’il s’agit en réalité du fils de la famille d’un ami à lui, âgé de 13 ans et en train de s’amuser dans la chambre. Finalement, ils sont embarqués par les forces de l’ordre. Sur place, tout correspond au scénario avec une voix maquillée et un enregistrement. Actuellement, les deux garçons risquent six mois d’emprisonnement avec plus de 7500 € d’amende pour dénonciations mensongères.