Une mère de famille meurt après un lifting des fesses « cadeau d’anniversaire »
C’était son anniversaire et cette mère de famille espérait être la reine du jour. Pour ce faire, elle a demandé à une clinique de lui offrir une nouvelle paire de fesses bien rebondies. Malheureusement, l’opération a viré au drame et le chirurgien n’a pas pu sauver sa vie ! Sa famille ne
La mère de famille était en bonne santé !
L’histoire de Marilha Menezes Antunes, une mère de famille de 28 ans, est une nouvelle preuve du danger derrière le bistouri. Elle travaillait dans une compagnie aérienne à Rio de Janeiro en tant que technicienne en sécurité au travail. Autant dire qu’en matière de santé, elle devait en connaître un rayon !
Sans nul doute, la jeune femme a pris soin de choisir la meilleure clinique de sa région, selon ses critères. Sinon, elle n’aurait pas accepté de régler la facture. Mais elle n’a pas prévu que les choses se passeraient si mal qu’elle ne reverrait plus son enfant ! En effet, cette mère de famille est morte une semaine après son opération !
Lors du jour fatidique, Marilha était en compagnie de son père et de sa sœur Léa Carolina. Cette dernière est dévastée après qu’on lui ait communiqué la mauvaise nouvelle. Elle a accompagné sa sœur au cours de toutes les procédures nécessaires avant l’opération. Elle savait que Marilha avait réussi tous les tests, d’où son désarroi !
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Une famille en quête de réponses logiques !
L’opération en question consistait en une liposuccion, suivie d’une injection de graisses au niveau des fesses. Pour faire simple, les médecins ont prélevé de la chair depuis le dos de la mère de famille. Ensuite, ils devaient le transférer dans son postérieur. L’objectif, bien sûr, était d’offrir une taille de guêpe à Marilha !
Mais au milieu de l’opération, Léa surprend une infirmière en panique qui tente d’appeler une ambulance. « Je suis allée au bloc opératoire et j’ai vu le médecin essayer de réanimer ma sœur. Je lui ai demandé ce dont il avait besoin et il m’a répondu d’oxygène. J’ai appelé les secours puis la police militaire, car le médecin n’expliquait pas ce qui s’était passé », dit-elle.
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Peu de temps après, l’hôpital leur communique le décès de la mère de famille. Plus tard, les médecins qui ont réalisé une autopsie sur le corps de Marilha découvrent la vérité. Quelque chose aurait perforé un de ses organes, ce qui aurait conduit à une hémorragie interne. Toutefois, les détails sur les circonstances de la mort restent un mystère !
La clinique semble vouloir rejeter la responsabilité !
Juste après le décès de la mère de famille, la clinique AMACOR a fait un communiqué pour expliquer la situation. Selon le document : « L’AMACOR est classé comme un hôpital de jour et son centre chirurgical fonctionne comme une installation louée par des équipes médicales indépendantes pour effectuer des interventions ».
Avant d’ajouter : « Notre responsabilité est de fournir l’infrastructure et les conseils nécessaires à la pratique médicale locale. Le centre chirurgical est entièrement équipé de tous les appareils essentiels pour la prise en charge des urgences cardiovasculaires et respiratoires ».
En outre, ils affirment qu’ils ont « détecté des signes d’instabilité hémodynamique pendant la procédure ». Mais malgré la rapidité de leur réaction et les efforts du médecin, ils n’ont pas pu sauver la mère de famille. On ne sait pas si d’autres procédures sont en cours. Quoi qu’il en soit, Marilha laisse derrière elle un enfant de 6 ans !