Nordahl Lelandais : la mère de son fils se dévoile comme jamais
Parmi les affaires judiciaires du siècle, le cas Nordahl Lelandais a marqué les esprits au fer rouge. En effet, accuséde « l’enlèvement et le meurtre en août 2017 » de la petite Maëlys d’à peine 8 ans, il est également coupable d’avoir ôté la vie à Arthur Noyer. En somme, son casier judiciaire donne des sueurs froides à tous les avocats !
Cependant, depuis son placement en détention en Alsace, Nordahl Lelandais ne joue pas la carte de la discrétion. Du reste, la naissance de son fils a fait vaciller l’équilibre des endeuillés. Actuellement jugé pour une histoire de parloir, la mère de son enfant a tenu à s’exprimer. Plus que jamais, elle a raconté l’enfer du décor.
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« Je suis tombée amoureuse »
Ayant fait des études de droit, la jeune femme a eu accès à tout son dossier de sept tonnes. D’ailleurs, face à la cour, elle a dressé un constat sans appel « Je ne prétends pas le guérir, il fera son chemin avec ses psys. Je ne suis pas non plus fascinée par lui. Je sais que le criminel existe, mais simplement, je vois aussi l’autre Nordahl. Je suis tombée amoureuse d’un être humain. »
Au début de l’année 2024, la naissance de leur enfant a choqué l’opinion. Quelques temps plus tard, en juin dernier, la presse a évoqué les tensions lors d’un énième parloir. Forcée d’expliquer les raisons de l’attitude violente de Nordahl Lelandais ce jour-là, elle a évoqué son ressenti. « J’ai le sentiment que l’on oublie l’intérêt de l’enfant, et son équilibre psychique, pour punir Nordahl. Mais la question aujourd’hui n’est pas de savoir s’il a le droit d’être père, mais si mon fils a le droit d’avoir un papa »
Ce jour où tout a basculé, elle n’en a rien oublié. « Une surveillante est intervenue, oui, mais pour reprocher à Nordahl que notre fils courait partout et dérangeait.» Selon elle, elle reconnait que Nordahl Ledendais a eu un comportement qui peut questionner, surtout devant le petit garçon. Par contre, elle persiste et signe. « Ils ne sont en rien représentatifs de nos relations ni de nos parloirs. Ma priorité, c’est mon fils. Si je sentais le moindre danger, croyez-moi, je n’aurais plus mis les pieds au parloir»