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Elle se tire une balle dans le pied, mais ses Crocs lui sauvent la jambe 😱

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Un simple geste, un bruit sourd, et la douleur. Ce jour-là, Marissa pensait juste protéger sa fille. Elle ne savait pas qu’elle allait vivre l’accident le plus absurde et miraculeux de sa vie.

👟 Une journée banale virée au cauchemar

Le 31 mars dernier, Marissa Jones, une jeune maman de 26 ans, se rend chez une amie à San Antonio, au Texas. Une journée classique, sans histoire. Jusqu’à ce qu’elle remarque un détail glaçant : une arme à feu laissée à portée de sa fille, Ava, 1 an.

Instinctivement, Marissa fait ce que beaucoup de parents auraient fait : elle veut éloigner le danger. Elle tente donc de glisser le pistolet sous le lit de son amie avec son pied. Mais en l’éloignant, le canon percute une barre métallique sous le sommier. Et c’est le drame : le coup part.

« Sous le lit, il y a une sorte de barre pour maintenir le sommier. Je pense que l’arrière du pistolet l’a percutée, et l’arme s’est déclenchée. C’est allé très vite », explique-t-elle.

La balle la frappe en plein pied droit. Marissa hurle, saute sur le lit, incapable de comprendre ce qui vient de se passer. Un moment de panique pur, un accident absurde comme seuls les faits divers savent en réserver.

🩼 40 plombs dans le pied, mais aucune amputation

Le choc est terrible : Marissa est transportée en urgence à l’University Hospital de San Antonio. Là-bas, les médecins découvrent que pas moins de 40 fragments de plomb se sont logés dans son pied.

Mais à leur grande surprise, le pied n’est pas broyé. Et la raison est aussi insolite qu’inattendue : elle portait des Crocs.

« J’étais en Crocs, et les plombs sont passés à travers, mais ça a tout amorti. Si j’avais été pieds nus, mon pied aurait été pulvérisé. J’aurais perdu mon pied, c’est clair », affirme-t-elle.

Les chirurgiens parviennent à retirer 20 fragments, mais il en reste encore autant enfouis dans les tissus. Marissa reste hospitalisée 10 jours, puis rentre chez elle, mais elle doit encore utiliser des béquilles et un fauteuil roulant. Une greffe de peau est prévue pour reconstituer la zone la plus endommagée.

Malgré la douleur et la longue convalescence, la maman reste positive et reconnaissante. « J’ai de la chance. Ce n’était ni mon visage, ni ma main, ni ma fille… Je ne peux que remercier mes Crocs. »

🧡 Une déclaration d’amour à ses Crocs

Depuis l’accident, Marissa ne cache plus son admiration pour la marque : « Je les ai toujours portés, mais maintenant, je compte acheter chaque paire que je vois ! » plaisante-t-elle.

Au-delà de l’humour, il y a une vraie reconnaissance : « Je remercie la marque du fond du cœur. Ces chaussures ont littéralement sauvé mon pied. »

Et elle n’est pas la seule à y croire : les internautes, choqués par cette histoire, saluent aussi la solidité improbable des fameux sabots en plastique. Certains en rigolent, d’autres partagent leurs propres anecdotes.

Ce qui est certain, c’est que Marissa a involontairement créé la meilleure campagne de pub que Crocs pouvait espérer : à mi-chemin entre le fait divers et l’héroïsme domestique.

🔫 Un rappel brutal sur les dangers des armes à feu

Cet accident remet aussi en lumière une réalité bien plus grave : la présence d’armes dans les foyers américains. Une simple visite entre amis a failli tourner au drame. Sans formation, sans réflexe de sécurité, n’importe qui peut se blesser gravement.

« Mes amis se sentent vraiment mal. Moi aussi, je veux maintenant apprendre la sécurité autour des armes. Je n’avais aucune idée de comment la manipuler », confie Marissa.

Aux États-Unis, de nombreux accidents domestiques impliquent des armes laissées à portée des enfants ou mal rangées. Ce cas, aussi absurde soit-il, n’est qu’un épisode parmi d’autres dans une longue liste de drames évitables.

Alors que Marissa espère pouvoir remarcher normalement un jour, elle continue de répéter qu’elle a eu une chance inouïe : « Je pense toujours au pire scénario. Mais à la fin de la journée, je suis encore en vie. Et ma fille aussi.«