Masques : A l’aise Breizh, la marque bretonne, se lance dans la confection et ça cartonne !
Alors que la marque bretonne A l’aise Breizh a dû fermer ses boutiques, elle a trouvé une reconversion. L’entreprise fabrique alors des masques à son effigie et les met en vente ! Le succès est immédiat ! Découvrez ces masques dans la vidéo ci-dessous :
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Avec la crise du coronavirus, l’usine de Morlaix de la marque bretonne A l’aise Breizh est à l’arrêt. Les 20 boutiques et les deux brasseries de la marque sont fermées. Toutefois, Erwann Créac’h, le fondateur de la marque à la célèbre bigoudène, a décidé d’une reconversion : la confection de masques en tissu.
Les masques A l’aise Breizh vendus en ligne
Pour produire des masques de qualité, la marque A l’aise Breizh a bien réfléchi. « Il a d’abord fallu que l’on réfléchisse au process de fabrication pour ne pas faire n’importe quoi en recherchant le tissu adéquat et la bonne coupe » , indique le chef d’entreprise cité par 20 minutes. Les masques distribués sont donc des protections homologuées Afnor, en tissu. Ils sont vendus six euros l’unité.
Des ventes qui explosent
Les ventes sont d’abord restées confidentielles mais ont très vite explosé. La demande a largement dépassé l’offre : « Nous ne sommes qu’une toute petite usine, avec seulement 14 personnes qui travaillent contre 120 habituellement, et nous ne pouvons produire que 500 à 700 pièces par jour« , explique le fondateur.
La marque a donc organisé sa vente. A l’aise Breizh donne rendez-vous chaque jour à ses clients à 17h sur sa boutique en ligne du lundi au vendredi. Tous les masques produits dans la journée y sont vendus directement. Les stocks s’écouleraient chaque jour en « seulement trois minutes » .
Par ailleurs, cette vente est une bonne action. Les fonds récoltés sont reversés à la Fondation de France pour « aider à la mise en place d’actions sociales dans les différents secteurs de la santé » , peut-on lire sur la publication Facebook. Maintenant, l’entreprise attend de savoir si elle pourra rouvrir le 11 mai pour vendre ses produits bretons.
Source : 20 minutes
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