Arche de Noé : Des scientifiques avancent des preuves de la véracité de l’histoire après avoir scanné le site
Encore une fois, la science et la foi se livrent à un impressionnant bras de fer. En cause, le site de Durupinar, en Turquie, qui pourrait bien être le vestige de l’Arche de Noé. Mais cette fois, certains scientifiques confirment le récit biblique ! Voici les éléments qui indiquent que la vie était présente sur le site !
Un pilote de l’armée aurait trouvé l’Arche de Noé !
En 1959, le capitaine İlhan Durupınar se trouvait à bord de son avion afin de mener une mission aérienne pour l’OTAN. Il avait pour objectif de cartographier la région autour du mont Ararat. C’est là qu’il remarque un sommet très particulier à 29 km au sud du mont. Sans hésiter, il affirme qu’il s’agit des vestiges de l’Arche de Noé.
Depuis, le sommet en question a été baptisé le site de Durupınar. Ceux qui ne connaissent pas le récit biblique peuvent se référer au film mettant en scène Russell Crowe et Emma Watson. Néanmoins, le Livre de la Genèse 6:15 donne d’étonnantes précisions similaires aux caractéristiques du site.
Le plus notable concerne la longueur de l’Arche de Noé, qui fait 300 coudées de long, soit environ 130 m. La formation en Turquie, quant à elle, mesure près de 160 m. Elle se situe à une hauteur entre 1 966 et 2 004 mètres au-dessus du niveau de la mer.
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On se doute bien que de nombreux scientifiques ont regardé de près cette mystérieuse formation. Un bon nombre d’entre eux disent qu’il s’agit d’un phénomène géologique naturel. Toutefois, les travaux d’Andrew Jones, fondateur de Noah’s Ark Scans, disent le contraire !
Des éléments qui contredisent la thèse du hasard !
Afin de mieux explorer le site de l’Arche de Noé, Andrew Jones et son équipe ont utilisé des radars à pénétration de sol appelés GPR. D’après le chercheur : « Nous ne nous attendons pas à quelque chose de parfaitement préservé. Il ne reste que l’empreinte chimique, des morceaux de bois et, dans le sol, la forme d’une salle ».
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Au cours de leurs recherches, les scientifiques ont découvert une formation de 4m de long qui s’apparente à un tunnel. Ils ont aussi capturé des indices sur l’existence de trois couches différentes dans le sol. Ce qui confirme ce que le Livre de la Genèse dit : « Fais-lui un étage inférieur, un deuxième et un troisième ».
Andrew Jones, quant à lui, déclare : « Ce n’est pas ce à quoi on s’attendrait si le site n’était qu’un simple bloc de roche solide ou le résultat de débris de coulées de boue aléatoires. Mais c’est exactement ce à quoi on s’attendrait s’il s’agissait d’un bateau fabriqué par l’homme, conforme aux spécifications bibliques de l’Arche de Noé ».
D’autres preuves presque irréfutables !
Un autre chercheur qui a analysé le site de l’Arche de Noé a détecté des niveaux élevés de potassium. Selon ses dires : « les niveaux de potassium, la matière organique et le pH peuvent tous être influencés par la décomposition de la matière organique ».
Mais bien sûr, toutes ces constatations ne permettent pas d’affirmer que ce site est réellement l’Arche de Noé. Andrew Jones et ses partenaires en sont conscients. Voilà pourquoi ils envisagent de réaliser une fouille complète dans les prochaines périodes.