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Apolline de Malherbe : attaquée par Jean-Jacques Bourdin, elle sort du silence

Publié par Jeanne Ferry le 18 Juil 2022 à 16:45

Apolline de Malherbe a pris la place de Jean-Jacques Bourdin pour la matinale de RMC. Une succession qui n’a pas plu au principal intéressé qui n’a cessé de la critiquer. Pour la première fois, la journaliste est sortie du silence dans les colonnes du Parisien, dimanche 17 juillet 2022.

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Jean-Jacques Bourdin évincé de RMC

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C’est une nouvelle qui avait suscité de nombreuses réactions. Jean-Jacques Bourdin a été écarté de la chaîne RMC après des accusations d’agressions sexuelles. En effet, la journaliste Fanny Agostini a porté plainte concernant des faits qui se seraient déroulés à Calvi, en Corse. Invitée à l’occasion d’un tournoi de pétanque, la jeune femme aurait été agressée sexuellement par Jean-Jacques Bourdin dans la piscine de l’hôtel.

Des accusations que le journaliste n’a cessé de nier. Après une mise à pied provisoire des antennes de RMC et de BFM TV, il a finalement été limogé le 17 juin dernier par le groupe Altice. La chaîne a donc choisi son joker déjà en place pour le remplacer, une décision qui ne lui avait alors pas plu.

Apolline de Malherbe sort du silence

Dans les colonnes du Journal du Dimanche en juin dernier, il n’avait pas eu de mots tendres envers Apolline de Malherbe. Le journaliste avait regretté qu’elle fasse partie de « l’entre-soi parisien » et qu’elle ne soit pas assez proche du public alors que RMC est une station populaire.

Des mots durs auxquels elle a décidé de répondre pour la première fois dans les colonnes du Parisien ce dimanche 17 juillet 2022 : « C’est compliqué quand une page se tourne. Mais c’était très dur pour les équipes de RMC, que j’ai souhaité défendre. Je n’ai pas accepté qu’il estime que tout s’arrête après lui. Sur ces cinq dernières années, Jean-Jacques Bourdin avait perdu beaucoup d’auditeurs. Le mouvement de chute était enclenché. Je savais qu’il faudrait me faire accepter de ceux qui étaient restés, retrouver ceux qui nous avaient oubliés et aller chercher une certaine modernité ». Une réponse franche, mais élégante.