« Ça ne passera jamais » : Claire Chazal encore marquée par son éviction de TF1
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Ce samedi 27 avril 2024, France 2 diffusait un nouveau numéro de Quelle époque, présentée par Léa Salamé et Christophe Dechavanne. Ils recevaient un nouveau panel d’invités et parmi ceux du jour, Claire Chazal.
L’occasion pour l’ancienne journaliste de TF1 de revenir sur son éviction surprise de la chaîne. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’a toujours pas digéré la décision de Nonce Paolini.
Claire Chazal et son éviction surprise de TF1
C’est une annonce qui avait surpris plus d’un Français. Après 24 ans de bons et loyaux services à la présentation du JT de TF1, Claire Chazal est évincée du jour au lendemain en 2015. Un départ qui s’est fait de manière précipitée puisque lorsque Nonce Paolini, à la tête du groupe TF1 de 2008 à 2016 lui annonce sa décision, celle-ci est quasiment immédiate.
Dans plusieurs médias, elle était déjà revenue sur cette éviction qui s’est faite pratiquement du jour au lendemain et par texto. En effet, Claire Chazal était avec son fils lorsqu’elle reçoit un SMS du directeur de TF1 et qui lui demande ensuite un rendez-vous en urgence. Le coup tombe, Claire Chazal doit dire au revoir aux millions de téléspectateurs chez qui elle s’invitait chaque soir.
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Une éviction qu’elle n’a toujours pas digérée
Et sept ans après les faits, Claire Chazal ne comprend toujours pas comment une telle décision a pu arriver. Bien qu’elle ait réussi à se reconvertir et officie désormais sur le service public, la journaliste garde un goût amer de cette période.
Pour preuve, elle était invitée sur le plateau de Quelle époque ce samedi 27 avril 2024 et face à Léa Salamé et Christophe Dechavanne, elle est revenue sur ce moment délicat de sa vie.
« C’était une décision, je pense, totalement irrationnelle. C’était une volonté personnelle, je ne veux pas m’étendre là-dessus… D’ailleurs, il n’y a même pas d’arguments qui m’ont été opposés. Il voulait me remercier et je savais que je ne pouvais pas me battre.”
Elle ajoute ensuite : « J’ai des frustrations encore au moment des grands événements qui suscitent une émotion collective et qui, au fond, justifient notre présence : ‘Comment je peux être utile dans ce moment grave ou dans ce moment joyeux ?’ » Dix ans après, Claire Chazal n’oublie pas : « C’est passé, celui qui a motivé ça, ça ça ne passera jamais, le responsable de ça, je l’oublierai jamais”.
