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Laurence Boccolini gravement malade et abandonnée… elle s’effondre

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Depuis plusieurs décennies, Laurence Boccolini illumine les écrans. Certes, ses premiers pas n’ont pas été de tout repos. Et pour cause, le concept du quiz Le Maillon Faible aurait pu nuire à sa réputation. Or, cette perfectionniste a tout fait pour redorer sa réputation. Après plusieurs années de bons et loyaux services à TF1, elle a tenté sa chance sur France Télévisions.

Or, malgré les bons scores, la direction a décidé de s’en séparer. Pire encore, les cadres n’auraient pas apprécié que la mère de Willow fasse des confidences sur son éviction à notre confrère Jordan de Luxe. Qu’on se le dise, même si habituée à gérer les tsunamis de cet acabit, l’ex cheffe d’orchestre des Enfants de la télé n’a pas eu une seconde de répit. Pour la première fois, elle va évoquer l’enfer de son décor.

Laurence Boccolini comme vous ne l’avez sans doute jamais lue

Au début du second millénaire, Laurence Boccolini a eu un coup de foudre pour l’un des plus hommes de France. Venu représenter la Polynésie, Mickaël Fakaïlo ignorait encore que son équilibre allait vaciller. Malgré son statut de dauphin, il a littéralement été subjugué par l’animatrice de l’élection. Et la réciproque est vraie. Au début, à cause des critiques sur leur vingt ans d’écart, ils ont joué la carte de la discrétion sur leur histoire d’amour.

Cependant, comme l’atteste la couverture ci-dessus, un an plus tard, Laurence Boccolini a dit oui à son prince charmant. Très proche de certains monstres sacrés du PAF, elle a pu compter sur la présence de ami Jean-Pierre Foucault. Complices et heureux, le duo avait un seul projet en tête : fonder une famille.

Une maman pas comme les autres

Hélas, cette mission a été beaucoup plus complexe et périlleuse que prévue. Des tentatives, Laurence Boccolini en a fait à la pelle. Or, dix ans après sa rencontre avec le père de sa fille, elle a fait trembler la Toile d’émotion. Du reste, ses arguments mêlant tendresse et fermeté, elle ne les a pas choisis par hasard ! «Enfin ! Ma fille Willow est là. Il n’y aura ni interview ni (autre) photo car son histoire n’appartient qu’à elle»,

Lors de chaque anniversaire de sa princesse Willow, Laurence Boccolini tient à lui adresser une belle dédicace. Du reste, l’une d’entre elles a récemment pris son sens. « Mon cœur ne bat que pour toi. Et rien ne compte plus que ton sourire. Toi d’abord pour toujours.»

Un lent parcours du combattant

Paragangliome intra-tympanique. Lorsque le diagnostic est tombé, Laurence Boccolini a bien failli s’effondrer. Fort heureusement, entourée d’experts, elle a fourni de nombreux détails à ses admirateurs de la première heure. « Cette tumeur grossit. Elle est dans les nerfs mixtes, c’est-à-dire l’aire de la voix, de la déglutition. Donc, on ne peut pas y toucher. »

Dans son malheur, Laurence Boccolini n’a plus personne pour l’accompagner aux séances de radiothérapie. Installée dans le canapé rouge de son mentor Michel Drucker, elle a dressé un constat sans appel. « Il a fallu que je gère. Quand j’ai fait mes séances, j’y vais seule, je n’alarme pas ma fille, même si elle est au courant. Il y a plein de gens dans ma situation qui n’ont pas un entourage déjà bien musclé pour supporter ça, pour venir avec vous, donc il faut gérer seul. » D’ailleurs, pendant la pandémie, elle a déploré ne avoir pas pu s’offrir le luxe d’avoir une infirmière à demeure. « Je faisais mes pansements et je nettoyais mes plaies. » Privée de ses trois piliers (parents et papi), Laurence Boccoli persiste et signe. Au lieu de baisser les bras, elle montre l’exemple et le chemin aux autres malades.

Estimant qu’elle doit apprendre à faire avec les jours sans, Laurence Boccolini a tenu à ne pas cacher la vérité à son enfant. « C’est la vie, ce sont des choses qui arrivent, il faut que je passe à travers. Elle m’aide beaucoup et moi, en contrepartie, je ne l’alarme pas. Mais je ne veux pas l’inquiéter plus qu’elle ne doit l’être. Elle sait qu’elle a une maman qui, de temps en temps, est un peu fatiguée et elle est cool »