« Les fesses à l’air »: Cyril Hanouna revient sur ce moment gênant et intime avec Emmanuel Macron
Ce lundi 29 septembre 2025, Cyril Hanouna présentait un nouveau numéro de Tout beau, tout fun. Et dans ce dernier, il est revenu sur un moment gênant vécu avec Emmanuel Macron.
Cette drôle de rencontre avec Emmanuel Macron
Comme chaque soir, Cyril Hanouna donnait rendez-vous à ses fidèles auditeurs pour un tout nouveau numéro de Tout beau, tout fun.
Dans ce dernier, l’animateur a raconté sur Fun Radio un épisode aussi gênant qu’insolite avec Emmanuel Macron.
Tout commence par un coup de fil le jour de son anniversaire, alors qu’il est… aux toilettes. « Donc je suis aux toilettes, et c’est mon anniversaire », lâche-t-il sans filtre.
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Au départ, il refuse plusieurs appels venant d’un numéro masqué : « À chaque fois, j’appuie sur le rouge ». Mais finalement, il décroche dans la pire des postures : « Mais là, je suis les fesses à l’air, et je réponds ». Et la voix au bout du fil n’est autre que celle du président : « Cyril, c’est Emmanuel ! Je voulais vous souhaiter bon anniversaire quand même ».
Selon Cyril Hanouna, Emmanuel Macron, de retour d’un déplacement, insistait depuis un moment pour lui faire passer ce message.
Ce n’est pas la première fois que Cyril Hanouna raconte ses échanges avec Emmanuel Macron. Il avait déjà confié que leur premier contact remontait à 2015, quand le futur président lui avait envoyé un SMS en pleine nuit, se présentant comme ministre des Finances et où il avait déclaré avec aplomb : « Non, je serai président en 2017 ».
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De quoi poser les bases d’une relation à la fois étrange et pleine d’anecdotes improbables.
L’amour n’est plus au beau fixe entre les deux
Mais derrière les histoires drôles, il reste un contexte plus tendu. Ces derniers mois, Cyril Hanouna n’a pas hésité à pointer Emmanuel Macron comme responsable de la fermeture de C8, une accusation récurrente dans ses prises de parole.
Le président avait tenu à mettre les choses au clair, notamment lors du Salon de l’agriculture : « De là où je suis, je ne peux pas commenter des décisions qui sont prises par une autorité indépendante et qui appliquent la loi ».
Puis il avait ajouté sans détour : « Pas une décision politique du tout. La loi a été conçue pour que ce ne soit pas une décision politique : ce n’est pas à l’arbitraire, ni d’un ministre, ni du président, d’ouvrir ou fermer une chaîne ». Une manière de couper court aux soupçons.