Matthieu Delormeau : cette somme folle dépensée pour soigner ses addictions
Matthieu Delormeau était présent sur le plateau de Tout beau, tout n9uf ce mercredi 15 octobre 2025. Le chroniqueur, qui a longtemps été absent de l’émission à cause de ses soucis avec la drogue, s’est confié sans filtre sur l’argent dépensé pour se soigner.
Matthieu Delormeau, sans filtre sur ses addictions
Matthieu Delormeau a fait un retour remarqué à la télé dans Tout beau, tout n9uf sur W9, aux côtés de Cyril Hanouna.
Le 15 octobre 2025, dans TBT9, l’ex-chroniqueur de TPMP s’est livré sans filtre sur une période particulièrement compliquée de sa vie, marquée par la dépression et les excès.
Avec émotion, il a raconté avoir littéralement vidé ses comptes à cause de ses addictions et de sa santé mentale. “Si tu veux toute la vérité, je n’ai pas travaillé pendant deux ans avec mes bêtises, et j’avais mis pas mal d’argent sur des comptes”, explique-t-il.
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Il confie avoir investi énormément pour tenter de s’en sortir : “Déjà, pour me soigner, ça m’a coûté 70 000 euros. Trois cures, les psy c’est 130 euros à chaque fois, et j’en voyais deux par semaine.”
Mais ces dépenses colossales ne se sont pas arrêtées là. Matthieu Delormeau a révélé avoir sombré dans la drogue, un engrenage aussi dangereux que coûteux. “Beaucoup d’achats de drogue, qui allaient jusqu’à 3 000 euros par mois à peu près”, a-t-il reconnu.
Une somme folle dépensée
Entre les cures, les excès et les dettes accumulées, ses économies ont fondu comme neige au soleil : “J’avais à peu près 150 000 euros sur mon compte. Et en deux ans, j’ai tout, tout, tout vidé aussi. Parce que je voyais des garçons, je leur payais des hôtels, j’étais complètement défoncé, des machins et tout ça.”
En tout, près de 170 000 euros partis en fumée, engloutis dans une spirale d’addictions et de pertes de contrôle.
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Aujourd’hui, Matthieu Delormeau semble vouloir se reconstruire, mais il ne cache pas combien cette période l’a marqué.
Celui qui a connu le succès sur NRJ12 et TPMP s’est retrouvé sans rien, submergé par les dettes et la honte. “Je ne pensais jamais un jour, moi qui ai toujours eu de l’argent, que je verrais 1,68 euro”, confie-t-il, la voix tremblante.
Il raconte avoir dû négocier avec son banquier pour geler ses emprunts, conscient de l’ampleur de sa chute.
Au-delà des chiffres, c’est surtout la solitude et la peur qui l’ont abîmé. “Je te promets que les problèmes de santé, c’est ce qu’il y a de plus grave, mais les problèmes d’argent, c’est ce qu’il y a de pire« .
