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« On ne vous appelle plus » : Adriana Karembeu cash sur sa carrière

Publié par FJ le 02 Mai 2022 à 7:02
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Adriana Karembeu a accordé une interview au magazine Nous Deux en avril 2021. L’occasion pour l’animatrice emblématique de France 2 de faire des confidences cash sur sa carrière et sur la manière dont elle a été malmenée à cause de son physique.

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Adriana Karembeu, de mannequin à animatrice

Adriana Karembeu a une belle carrière. Elle s’est fait connaître du grand public en devenant mannequin pour les plus grandes marques dans les années 90. Elle a défilé pour les plus grands comme Thierry Mugler et a également été l’égérie de grandes marques comme Atol, les opticiens. 

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Mais elle a également eu l’occasion de s’essayer à l’animation avec son ami Michel Cymes. Entre les deux animateurs, une belle complicité s’est installée comme elle le confiait dans les colonnes de TV Mag en octobre 2021 : « Nous sommes amis. Il vient souvent nous voir à Marrakech. Lorsque nous devons voyager pour l’émission, il emmène son épouse, et moi, mon mari et tous deux restent ensemble, ils s’adorent ! On s’entend très bien tous les quatre. Sa femme est extraordinaire. J’ai peu d’amies filles, mais, elle, c’est un cadeau ». 

Ses confidences cash sur sa carrière

« Quand j’ai un souci d’ordre médical, j’appelle Michel en premier alors que ma mère est médecin ! Il est toujours disponible et ne m’a jamais laissée tomber » avait-elle ensuite confié.

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Une belle carrière qui n’a pas été de tout repos pour elle. En effet, dans un entretien accordé à Nous Deux en avril 2021, elle avait fait savoir que tout n’avait pas été facile pour elle : « À force d’être habillée, coiffée, maquillée, on pointe nos défauts pour les corriger, et ça finit par faire naître des complexes. Pour ma part, je me suis toujours dit que mon physique était un cadeau, un bonusLe mannequinat vous oblige à vous regarder, à prendre soin de vous. À la moindre prise de poids, on ne vous appelle plus. À 30 ans, j’aurais éventuellement pu m’occuper de mes premières rides mais, comme je continuais à travailler, l’idée est passée ».