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Stéphane Bern endetté : Comment rembourse-t-il sa dette de 4 millions d’euros ?

Publié par Elodie Gros-Désir le 18 Août 2024 à 10:32

Honnête, Stéphane Bern n’a jamais caché ses difficultés financières. En 2023, il indiquait être sous le coup d’une dette de 4 millions d’euros à rembourser sur 25 ans… Une dette colossale.

Cet investissement risqué de Stéphane Bern

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Féru d’histoire, Stéphane Bern ne fait pas que la raconter. Il y investit, soucieux de voir perdurer le patrimoine français. Mais l’investissement comporte quelques risques, notamment financiers. Ainsi, décidant de se porter acquéreur du Collège Royal de Thiron-Gardais, l’animateur de France Télévisions s’engage dans un parcours semé d’embûches.

Une situation qu’il partage volontiers auprès de la presse. En 2023, il s’est confié dans les colonnes du Parisien, fournissant davantage de détails sur sa situation : « Je me suis endetté au-delà de mes capacités : 4 millions d’euros à rembourser sur 25 ans. J’ai refusé toutes les aides publiques. Tout mon argent y passe, mes droits d’auteur, l’argent des émissions. Ici, c’est un peu le tonneau des Danaïdes ».

Une honnête confidence qui a poussé l’Informé à se pencher sur les finances de l’animateur. Comment rembourse-t-il ses dettes ?

Quels moyens pour rembourser sa dette ?

À son activité d’animateur, Stéphane Bern ajoute la casquette d’écrivain. Un statut qui lui assure un pécule régulier qu’il utilise pour rembourser une partie de ses dettes. Mais cela n’est pas suffisant. Pas de panique, le féru d’histoire n’est pas à court de ressources.

On apprend notamment qu’il détient une société de production : Gotha Conseil. Société au sein de laquelle il est associé avec un certain Gaël Richard et pour laquelle ils récoltent en moyenne 182 000 euros par an. Face à de tels revenus, ils décident de réitérer l’expérience avec une nouvelle société de production, Kisayang. Un pari gagnant, puisque cette dernière leur permet de faire plus de 200 000 euros de bénéfices en 2022.

Ce n’est pas tout. Cette année, Stéphane Bern et son compagnon, Yori Bailleres, se lance dans un nouveau business. Ensemble, ils imaginent la marque Paris Le Perche. Une marque spécialisée dans le textile, qui s’attache à proposer « des créations autour d’un art de vivre inspiré par l’Histoire ». Rien que ça.