Vincent Lagaf, coincé dans un fauteuil roulant, ses fans en PLS
Dans la grande famille du PAF, Vincent Lagaf est un cas à part. En effet, il a toujours su comment amuser la galerie. Bien avant d’être la star de TF1, il était animateur dans des clubs de vacances. Dire qu’il a laissé une trace indélébile dans l’esprit de ses collègues et des anonymes est une évidence. Ensuite, dans les années 90, il a enchainé les projets.

Or, juste après la fin de l’aventure du « Bigdil », l’équilibre de Vincent Lagaf vacille. Traumatisé par son enfance, il a décidé de mener l’enquête. Ce qu’il va découvrir sur sa famille adoptive et biologique va profondément le marquer au fer rouge. Plusieurs décennies après son licenciement de TF1, il a accepté de revenir sur « RMC Story ». Qu’on se le dise, ce n’est pas pour examiner à la loupe des motos ou des voitures. Par contre, la nouvelle version de son émission culte créé l’événement. Hélas, un récent épisode va venir gâcher ses efforts !
La double peine de Vincent Lagaf
Comme nous venons de l’évoquer, Vincent Lagaf a dû s’accrocher à sa bonne étoile. A sa naissance, sa mère à peine majeure l’a abandonné. Malade, elle n’avait pas les ressources nécéssaires pour subvenir aux besoins de son fils. Or, une fois placé en famille d’accueil, le petit garçon va rapidement prendre conscience qu’il n’était pas le bienvenu. Attitude négative de sa mère adoptive, réflexions de ses camarades, il multiplie les épreuves.
À lire aussi
Afin de s’en sortir sans y laisser trop de plumes, il enfile un costume de clown. A partir de ce moment-là, Vincent Lagaf met son passé de côté et va se focaliser sur sa carrière. Et force est de constater que la magie va opérer pendant de nombreuses années avec les Français. D’ailleurs, souvent adulé par plusieurs générations, il n’hésite pas à dire tout haut ce que les autres pensent tout.
Certes, ses provocations à l’antenne ont fini par lui causer des ennuis avec ses employeurs. Lorsqu’il a appris la fin de son émission dans la presse, il est sorti de ses gonds. Se sentant encore rejeté, ses vieux démons vont remonter à la surface.
Dans son livre, Vincent Lagaf va raconter à ses admirateurs de la première heure comment il a réussi à recoller les morceaux de son cœur brisé. Contre toute attente, il parvient à retrouver la trace de sa génitrice. Face à son instance, elle a accepté de lui expliquer tous ces non-dits. Autre prénom, identité de son père, frères et sœurs, les révélations se suivent et ne se ressemblent pas.
Un cauchemar sanitaire
À lire aussi
Actif sur les réseaux sociaux, Vincent Lagaf vient de publier une intrigante vidéo sur TikTok : « hey coucou les gens, ça fait un petit moment qu’on ne s’était pas parlés, donc que je ne vous avais pas donné de nouvelles. Donc, vous avez le bonjour du barbu ». S »il se surnomme comme ça, ce n’est pas un hasard du tout puisqu’il a pris une grande décision. « Ne pas me raser tant que je serai immobile. Voilà, peut-être que je vais devenir le capitaine Haddock ».
Début juin, Vincent Lagaf a dû se faire opérer dans le plus grand secret. Après avoir souligné le caractère non urgent de la chose, il persiste et signe. « Je n’ai plus aucune douleur. Par contre, je souffre simplement d’immobilité. Sur les 45 jours, j’ai fait un peu plus de la moitié. »
Apaisé par les encouragements de ses abonnés, Vincent Lagaf se montre optimiste. « Je me surprends d’arriver à être calme, serein, en place. » Qu’on se le dise, tous les « messages d’amitié et de solidarité, de courage, d’amour » lui donnent la motivation nécessaire pour gérer cet énième rebondissement. Chapeau l’artiste !