Brigitte Macron brûlée vive : sa « grosse tête » a été mise en feu, la vidéo fait scandale !
Le 8 mars dernier, le carnaval indépendant de Nice avait mis à l’honneur Brigitte Macron. Enfin, à l’honneur est un bien grand mot. Décolleté, grosse tête et surtout, une représentation qui a fini au bûcher de la place Garibaldi, afin de montrer leur colère face au gouvernement, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous !
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Brigitte Macron : une « grosse tête » à son effigie brûlée !
Le dimanche 8 mars, Nice accueillait du beau monde pour son carnaval indépendant, comme le rapporte Nice-Matin. Alors que différentes manifestations avaient lieu un peu partout dans le pays pour la défense des droits des femmes, à Nice, l’ambiance était un peu différente. En tout cas, c’est ce que les Niçois ont bien voulu nous faire croire. Ces derniers ont profité du carnaval pour brûler une « grosse tête à l’effigie de Brigitte Macron » , sur la place Garibaldi, comme le rapporte Le Figaro. Un geste qui n’est pas innocent, selon un internaute : « Se réjouir de voir brûler une femme en marionnette (qui que ce soit) le jour de la journée de la défense des droits des femmes en justifiant cet acte par le ‘carnaval’ n’est pas anondin » . De son côté, le maire de Nice, Christian Estrosi, a réagi sur twitter !
Grosse tête à l’effigie de Brigitte Macron incendiée hier place Garibaldi. Au nom de la @villedeNice et des Niçois je veux condamner cet acte commis en pleine #JourneeDesDroitsDesFemmes, qui couvre de honte ses auteurs. #Nice06
— Christian Estrosi (@cestrosi) March 9, 2020
Un acte symbolique… Mais contre qui ?
En brûlant la première dame, il semblerait que la colère des Niçois soit tournée vers Brigitte Macron. Et pourtant, ce n’est pas totalement vrai. Alors que les différentes personnalités politiques et certains internautes s’indignent de cet acte en ce jour de la défense des droits des femmes, l’un des organisateurs du carnaval indépendant explique ce geste, qu’il veut symbolique. Pour lui, « ce n’est pas la première dame qui a été carbonisée, c’est l’image du gouvernement » avant d’ajouter que « si la veille, les policiers n’avaient pas attaqué les femmes, on n’aurait pas brûlé la reine » .
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