Emmanuel Macron : il fait le choix de voitures plus économiques que François Hollande
Suivez nous sur Google News
Au niveau des dépenses du palais de l’Élysée, Emmanuel Macron est carrément dans le rouge ! En effet, il semble qu’il ait explosé le plafond. Toutefois, il apparaît qu’il met en place une stratégie sur le long terme avec des dépenses plus excessives au départ mais avec un réel retour sur investissement à la longue.
>> À lire aussi : « T’es complètement con ! » : Brigitte Macron remet Emmanuel Macron à sa place !
Emmanuel Macron : des dépenses dans le rouge pour le palais de l’Élysée
Depuis qu’il est arrivé à la tête de l’État, Emmanuel Macron est largement critiqué pour son passé de banquier. Et visiblement, c’est une situation qui ne va pas aller en s’arrangeant avec la communication des dépenses du palais de l’Élysée.
Contrairement à François Hollande qui n’avait pas dépensé l’ensemble de l’enveloppe, c’est donc une situation qui se rapproche plus de Nicolas Sarkozy que de son prédécesseur. Toutefois, il semble que derrière cette apparente hausse excessive des frais se cache en réalité une stratégie mise en place sur le long terme.
>> À lire aussi : Emmanuel et Brigitte Macron : cette très grosse dépense pour les vacances à Fort de Brégançon qui ne va pas plaire aux Français…
Des véhicules plus économiques que François Hollande
Si Emmanuel Macron dépense sans compter, ce n’est certainement pas sans réfléchir. Par exemple, le palais de l’Élysée explique qu’en 2018, l’État a acquis 82 véhicules pour un montant de 89 669 €. « Nous avons acheté des véhicules propres et baissé notre standing en choisissant des Peugeot 308, à la place des 508. » Ainsi, ce sont des voitures qui sont moins coûteuses à l’achat pour 21 150 € contre 33 300 € pour François Hollande. La seule différence, c’est que le parc automobile compte désormais 82 véhicules contre 64.
Il existe donc une économie de 10 000 € pour chaque voiture ce qui fait techniquement une belle réduction avec en plus une économie sur les frais d’entretien. Et évidemment, le cabinet de la présidence assure qu’il existe une réelle stratégie derrière ce choix pour « Dépenser plus dans un premier temps pour dépenser moins dans le futur. »
