Insulte homophobe contre Emmanuel Macron sur Europe 1 : Pascal Praud réagit
Récemment, un auditeur a franchi les limites en ayant des propos insultants envers Emmanuel Macron. Pascal Praud a réagi. Découvrez ce qui s’est passé !
Un auditeur qui dépasse les limites
Ce mardi 26 août, sur Europe 1, en plein direct, un auditeur n’a pas hésité à insulter Emmanuel Macron. Ainsi, Pascal Praud s’est vu obligé d’intervenir. Cet auditeur a, dans un premier temps, qualifié la majorité des partis politiques comme étant des escrocs. Par la suite, il s’en est pris au Président de la République française : « Quand je vois un président comme Macron… enfin, c’est votre président, ce n’est pas le mien, parce que pour moi, ce n’est pas un président. Un président qui embrasse Zelensky dans le cou, ce n’est pas un président, ce serait plutôt une tarlouze.« , a-t-il déclaré. En parallèle, découvrez les dernières interventions d’Emmanuel Macron.
À lire aussi
Pascal Praud intervient
Rapidement, Pascal Praud est intervenu en expliquant qu’il mettait fin au témoignage de l’auditeur, qui se prénommait Christophe : « Ce n’est pas possible, à l’antenne, on ne peut pas insulter les gens. », a-t-il lancé. Malgré ses nombreuses interventions dans le passé, cette fois-ci Christophe est allé trop loin et a dépassé les limites. Par la suite, Pascal Praud s’est excusé auprès des auditeurs qui ont été choqués par ce qu’ils ont entendu. Il affirme que cette émission propose une liberté d’expression totale, mais qu’il refuse les insultes à l’antenne. L’animateur a même expliqué qu’il n’appellerait plus Christophe, une décision qui démontre que les limites ont été dépassées.
Une chose est certaine, Pascal Praud a été particulièrement mal à l’aise face à une telle situation, mais a réussi à agir en conséquence. En parallèle, découvrez les dernières actions de Jean-Luc Mélanchon.
Alors, que pensez-vous des propos de Pascal Praud ? Une réaction ? Laissez-nous un petit commentaire pour nous donner votre ressenti. En attendant, découvrez cette étude concernant la démission d’Emmanuel Macron.