Arrêts maladie : cette nouvelle règle qui peut vous coûter cher
Depuis quelques mois, la CPAM a inclus une nouvelle règle, celle de mettre fin à la tolérance sur l’indemnisation des jours non prescrits lors d’un arrêt maladie de prolongation. Découvrez.
Un changement pour les arrêts maladie
Depuis le 1er septembre 2024, un changement de taille a été mis en place par les Caisses primaires d’assurance maladie (CPAM). En effet, ils n’indemnisent plus les jours prescrits en cas de prolongation d’un arrêt maladie. Par exemple, si vous avez un arrêt maladie qui se termine le vendredi et que votre médecin ne le prolonge qu’à partir du lundi d’après, vous ne pourrez par percevoir d’indemnité le samedi et le dimanche. En parallèle, découvrez cette nouvelle mesure qui divise : vos soins remboursés selon vos revenus.
À lire aussi
Une nouvelle règle à prendre en considération
Pourtant, cette situation était au préalable possible grâce à une tolérance administrative de la Cnam. Depuis quelques mois, les arrêts maladie ont inclus cette nouvelle règle. Pour information, l’Assurance maladie a déboursé la somme de 10,2 milliards d’euros pour l’indemnisation des arrêts de travail. Une dépense qui a augmenté de 6,3% par an en moyenne. La CPAM a ainsi décidé de renoncer à l’indemnisation automatique en cas de prolongation non continue de ce type d’arrêt. Pour éviter de vous retrouver dans une situation inconfortable, il vaut donc mieux anticiper vos arrêts maladie.
À lire aussi
Pour information, six millions de Français n’avaient pas de médecin traitant en 2024, et 87% du territoire était classé dans un désert médical. En parallèle, découvrez pourquoi ce journaliste est choqué par les médecins.
Alors, que pensez-vous de cette nouveauté pour les arrêts de travail ? Une réaction ? Trouvez-vous que c’est une bonne initiative ? Laissez-nous un petit commentaire pour nous donner votre ressenti. En attendant, découvrez comment poser vos jours de congés pour profiter un maximum cette année.
2 commentaires